RadioCanada. Publié à 11 h 17. Présenté à partir de vendredi à la Cinémathèque québécoise, à Montréal, Une histoire à soi met en scène les témoignages de cinq personnes adoptées
Le JT de 20 Heures de France 2Le journal de 20 Heures est le grand rendez-vous de l'actualité de la journée sur France 2. Du lundi au jeudi, Anne Sophie Lapix est au commande de ce journal TV de 40 minutes. Elle est parfois remplacée par Julian Bugier. Du vendredi au dimanche, le journal est présenté par Laurent Delahousse. "Leïla Kaddour-Boudadi est son 20 Heures propose un tour d'horizon complet de l'actualité de la journée, enrichi par les nombreux reportages et duplex des envoyés spéciaux en France et à l’étranger, ainsi que les interventions des correspondants à travers le monde pour raconter et analyser l’actualité internationale. Après la présentation des titres, la rédaction décrypte les événements forts de l’actualité avec des infographies, des chroniques, des invités, et des experts sur le plateau pour expliquer les sujets qui font la la semaine, découvrez le nouveau rendez-vous du journal, L’œil du 20 heures, qui enquête et pose un regard décalé sur l’actualité, et chaque jour à la fin du journal le dossier de la rédaction, qui décrypte un phénomène de société. Le week-end, le journal du samedi soir consacre un éclairage à un produit star de la consommation avec la "saga". Et le dimanche, place à la chronique 7 jours d’actualité sur le fil, pour un récapitulatif de la semaine, et à l’invité de programme est disponible ici en direct vidéo ou en replay après sa diffusion pour voir et revoir les précédentes éditions à volonté.
justeenvie de parler à des adultes, de trouver du réconfort j'ai 20 ans. mes parents m'ont donné une petite soeur.
Ce lundi 24 avril Arnaud Gidoin était l’invité de la charmante Alexandra Roost. Alors que l’animatrice de Non Stop People diffusait des messages enregistrés par le père et la mère d’Arnaud Gidoin, le comédien n’a pu retenir ses larmes. Non Stop People revient sur ce moment d’émotion à jour le 24 avril 2017, publié le 24 avril 2017
publiéle 27/12/2014 | 20:06. Le JT de 20 Heures du samedi 3 janvier 2015 est présenté par Marie Drucker sur France 2. Retrouvez dans le journal télévisé du soir : avec la sélection des
Lorsque les parents sont séparés, une partie des enfants ne voit plus que rarement leur père, et certains même plus du tout. Combien sont-ils ? Analysant l’enquête de l’Ined et l’Insee Étude des relations familiales et intergénérationnelles, Arnaud Régnier-Loilier étudie la fréquence de la rupture du lien entre un père et son enfant et les circonstances dans lesquelles elle a lieu. 1 Le risque pour un enfant de connaître la séparation de ses parents s’est accru avec la fragilisation des unions. La loi du 4 mars 2002 pose comme principe l’exercice commun de l’autorité parentale entre père et mère en cas de séparation elle s’applique dans 98 % des divorces et 93 % des séparations de parents non mariés [1]. L’exercice du droit de visite et d’hébergement ne peut être refusé au parent qui n’a pas la garde de l’enfant sauf motifs graves mais la loi n’impose pas de principe relatif à la résidence des enfants, qui est majoritairement fixée chez la mère dans 7 cas sur 10. Bien qu’en augmentation ces dernières années, la résidence alternée reste rare et la résidence du père l’exception. En cas de séparation, l’exercice de la paternité est mis à l’épreuve par l’absence de vie quotidienne avec l’enfant. 2 Le développement de la monoparentalité a conduit à s’intéresser à ses conséquences sur les enfants à l’adolescence ou une fois adultes. Bon nombre d’études se sont attachées à démontrer l’effet positif sur le développement social, cognitif et émotif de l’enfant du maintien de l’engagement du père après la séparation. L’absence de rencontre entre un père séparé et son enfant reste cependant fréquente comme le montre l’enquête Étude des relations familiales et intergénérationnelles encadré. Près d’un enfant de parents séparés sur cinq ne voit jamais son père 3 Lorsque les parents ne sont pas séparés figure 1a, les enfants commencent à quitter le domicile parental à 18 ans, pour suivre des études ou s’installer, mais les rencontres sont fréquentes, et la proportion d’enfants ne voyant jamais leur père ou leur mère est insignifiante. 4 Quand les parents sont séparés figure 1b de nettes différences apparaissent entre père et mère. À quelques rares exceptions, la mère déclare vivre avec ses enfants jusqu’à leur majorité, que ce soit à temps complet ou en résidence alternée. Passé cet âge, les rencontres avec la mère restent fréquentes ; seuls 5 % des enfants de 18-34 ans ne la voient jamais. 5 La résidence de l’enfant chez le père est plus rare, et elle est surestimée dans l’enquête [1]. Lorsque le père ne vit pas avec lui, les rencontres sont nombreuses aux jeunes âges, notamment avant 5 ans. Néanmoins, l’absence de rencontre concerne près d’un enfant mineur sur dix, proportion qui atteint 19 % si l’enfant a entre 18 et 21 ans et 32 % s’il a entre 30 et 34 ans. Au total, pour 18 % des enfants de 0 à 34 ans de parents séparés, le père dit ne jamais les voir. 6 Un net décrochage apparaît ainsi à 18 ans figure 1b. Il pourrait tenir au droit de visite et d’hébergement encadré juridiquement jusqu’à la majorité de l’enfant. Le parent chez qui la résidence est fixée est alors contraint de présenter l’enfant à l’autre parent sous peine de sanctions pénales. Au-delà de cet âge, il n’existe plus de moyens juridiques de contraindre l’enfant à voir son père, pas plus que de contraindre ce dernier à voir son enfant. Ainsi, il se pourrait que certains enfants ne souhaitent plus voir leur père mais aussi, dans certains cas, que le père estime que son rôle de parent s’arrête à la majorité de l’enfant et ne fasse plus d’effort pour maintenir les liens. Figure 1Fréquence des rencontres enfants-parents selon l’âge de l’enfant Des liens qui se défont avec le temps 7 Ce net effet d’âge de l’enfant au moment de l’enquête recouvre par ailleurs différentes temporalités. En premier lieu, plus l’enfant est âgé, plus la séparation de ses parents est probablement ancienne, or le temps écoulé depuis la rupture est lié à l’intensité des liens. Par exemple, la proportion d’enfants ne voyant jamais leur père est inférieure à 6 % si la séparation remonte à moins de 4 ans, elle est de 19 % si le père est séparé depuis 10-14 ans et 32 % au-delà tableau. L’âge de l’enfant au moment de la séparation intervient également. Plus l’enfant était jeune, moins il voit son père ensuite plus d’un enfant sur quatre parmi ceux qui avaient moins de 3 ans au moment de la séparation ne rencontre pas son père, contre un sur sept parmi ceux qui avaient au moins 8 ans. 8 Avec le temps, la situation du père peut aussi évoluer remise en couple et, parfois, arrivée d’un nouvel enfant. La distension du lien avec l’enfant est alors plus forte 14 % des enfants ne voient jamais leur père s’il vit seul contre 24 % s’il vit en couple et a eu un enfant dans le cadre de cette nouvelle union tableau. Si ces résultats mettent bien en évidence une corrélation, ils ne permettent pas d’en déterminer le sens. La remise en couple du père peut conduire l’enfant à ne plus désirer voir son père, le père à souhaiter se détacher de l’enfant, ou encore la mère à faire obstacle aux rencontres entre l’enfant et son père ; la rupture du lien avec l’enfant peut de son côté avoir encouragé le père à refaire sa vie. Le temps nécessaire pour se rendre chez l’enfant 9 Sans surprise la distance entre domiciles des uns et des autres joue un rôle central plus on vit loin l’un de l’autre, moins l’on se voit [4]. Toutefois, les moyennes masquent des différences intéressantes figure 2. Jusqu’à 4 heures de trajet, le temps nécessaire pour se rendre d’un domicile à l’autre joue fortement sur la fréquence des rencontres sans affecter la proportion d’enfants que le père ne voit jamais entre 10 % et 14 %, écarts non significatifs. C’est seulement au-delà de 4 heures que cette proportion augmente fortement 33 % ; elle atteint 81 % lorsque le père déclare ne pas savoir combien de temps il faut pour se rendre chez l’enfant, ce qui peut traduire une perte totale de contact. TableauProportion d’enfants de parents séparés ne voyant jamais leur père selon diverses caractéristiques % % ne voyant jamais le père Sexe de l’enfant fille garçon Durée écoulée depuis la séparation 0-4 ans 5-9 ans 10-14 ans 15-34 ans non connue Conjoint à l’origine de la demande de divorce le père les deux la mère non mariés Situation familiale actuelle du père seul en couple sans enfant en couple avec enfants Avec qui l’enfant a résidé l’année suivant la séparation avec le père avec la mère en résidence alternée autres situations Diplôme du père inférieur au Bac Bac supérieur au Bac Situation d’activité du père actif occupé inactif, au chômage Revenu mensuel du ménage du père moins de 1000 € 1000-1999 € 2000-2999 € 3000 € et plus Le père a passé la majeure partie de son enfance… avec ses deux parents autres situations Fréquence des rencontres entre le père et son propre père jamais moins d’une fois par mois moins d’une fois par semaine une fois par semaine ou plus père décédé ensemble Proportion d’enfants de parents séparés ne voyant jamais leur père selon diverses caractéristiques % Champ enfants de moins de 35 ans déclarés par le père comme issus d’une précédente union rompue par séparation. Note à l’exception du sexe de l’enfant, la corrélation avec chacune des variables ici présentées est significative, toutes choses égales par ailleurs modélisation par régression logistique non présentée ici. La rupture du lien père-enfant plus rare après une résidence alternée 10 La manière dont s’est passée la séparation des parents influe sur les relations entre le père et l’enfant. La proportion d’enfants ne voyant plus leur père est plus élevée lorsque la demande de divorce n’a pas été conjointe mais à l’initiative de l’un des deux parents, quel que soit son sexe tableau. Le lien est plus souvent rompu si l’enfant a vécu principalement chez la mère dans l’année qui a suivi la séparation 21 % des enfants ne voient alors plus leur père, contre 12 % dans les rares cas où la résidence de l’enfant a été confiée au père, et seulement 1 % si l’enfant s’est retrouvé en résidence alternée. Figure 2Fréquence des rencontres enfant/père selon le temps nécessaire pour se rendre du domicile de l’un au domicile de l’autre 11 Si la résidence alternée paraît réduire considérablement les risques de rupture du lien entre l’enfant et son père, plusieurs effets se combinent en réalité. D’une part, la résidence partagée permet au père de maintenir un lien régulier avec l’enfant, une certaine quotidienneté, mais d’autre part, elle est aussi la traduction de séparations plus consensuelles, moins conflictuelles. La résidence alternée est ainsi plus fréquente en cas de divorce par consentement mutuel » 22 % qu’en cas de divorce accepté » 11 % ou de divorce pour faute » 4 % [5]. D’autres facteurs interviennent 12 Le niveau de diplôme, la situation professionnelle du père et son revenu jouent de concert sur la probabilité pour un enfant de ne pas voir son père. Celle-ci est d’autant plus élevée que le père est peu diplômé ou occupe une position professionnelle peu stable contrat à durée déterminée, chômage, invalidité tableau. Inversement, la proportion d’enfants ne voyant jamais leur père est bien moindre quand le revenu du ménage dans lequel il vit est élevé 8 % quand le revenu mensuel est de 3000 € ou plus contre 30 % pour un revenu inférieur à 1000 €. Un revenu élevé permet d’assurer les frais de transport liés aux visites et de disposer d’un logement suffisamment grand pour accueillir l’enfant. 13 Les relations qu’entretient un enfant avec son père sont aussi fortement liées aux rapports que ce dernier entretient lui-même avec son propre père et, plus généralement, à son histoire familiale passée. La proportion d’enfants ne voyant plus leur père est deux fois plus élevée lorsque celui-ci n’a pas été élevé par ses deux parents jusqu’à l’âge de 15 ans 30 % contre 15 % s’il a été élevé par ses deux parents. L’absence de rencontres entre l’enfant et son père est beaucoup plus fréquente si ce dernier ne voit lui-même jamais son propre père. 14 Enfin, notons que l’absence de rencontre entre un père et ses enfants n’est pas liée au sexe de ces derniers mais, quand elle a lieu, la résidence des enfants chez leur père est plus fréquente lorsqu’il s’agit de garçons. Vers une évolution des comportements ? 15 En 2005, d’après les pères, 13 % de leurs enfants mineurs avec qui ils ne vivent pas ne les voient jamais. Une précédente étude montrait qu’en 1994, 24 % des enfants mineurs vivant avec leur mère ne voyaient jamais leur père [6]. Bien qu’une comparaison directe entre ces deux études ne soit pas possible pour des raisons méthodologiques, cela suggère un maintien des relations avec le père dans l’après-séparation un peu plus important que par le passé. Le contexte a en effet changé et l’idée selon laquelle le couple parental doit survivre au couple conjugal s’impose aujourd’hui. La loi de 2002 contribue sans doute à cela, en limitant le nombre de cas où la mère peut faire obstacle au droit de visite et en encourageant les pères à ne pas renoncer à leurs droits. En facilitant le divorce par consentement mutuel, la loi du 26 mai 2004 entrée en vigueur le 1er janvier 2005 vise à pacifier les séparations et pourrait ainsi contribuer au maintien du lien père-enfant. Toutefois, la résidence de l’enfant reste encore majoritairement fixée chez la mère pour différentes raisons souhait des deux parents, mais aussi parfois en raison de difficultés pratiques à mettre en place une résidence alternée éloignement géographique des parents, difficultés matérielles, etc., configuration qui se pose en obstacle à l’exercice d’une paternité régulière et rend de toute évidence plus difficile la pérennité du lien avec le père. Encadré. L’enquête Étude des relations familiales et intergénérationnelles L’enquête Étude des relations familiales et intergénérationnelles Érfi a été réalisée en 2005 par l’Ined et l’Insee auprès de 10079 hommes ou femmes âgés de 18 à 79 ans vivant en ménage ordinaire en France métropolitaine. Il s’agit de la déclinaison française de l’enquête Generations and Gender Survey GGS conduite dans une vingtaine de pays Centrée sur la construction de la famille et les relations entre générations et entre sexes, le questionnaire invitait le répondant à décrire l’ensemble de ses enfants et, lorsque ceux-ci résidaient en dehors du ménage, à indiquer à quelle fréquence il voyait chacun d’eux la question était À quelle fréquence voyez-vous [prénom de l’enfant non cohabitant] ?. Le champ de l’étude porte ici sur les enfants de 0 à 34 ans en 2005 déclarés par le père et que ce dernier a eu dans le cadre d’une union rompue par séparation, qu’ils vivent ou non avec lui au moment de l’enquête n = 1 227 enfants. Notons que l’absence de rencontre entre un enfant et son père ou sa mère ne signifie pas nécessairement une rupture complète des liens, d’autres formes de contacts pouvant exister échanges épistolaires, téléphoniques, par Internet, etc. mais que l’enquête ne permet pas d’identifier. L’enquête Érfi a été financée par l’ANR, la Cnaf, la Cnav, le COR, la Dares, la Drees, l’Ined et l’Insee. La présente étude s’inscrit dans le cadre du projet ANR Pères en solitaire paternités contemporaines et nouvelles trajectoires familiales » Resp. A. Martial, Cnrs - Centre Norbert Elias. Notes [1] Lorsque l’enfant est décrit par le père comme habitant avec lui, il s’agit principalement de situations de résidence alternée ; par ailleurs, les pères ayant rompu récemment leur union sont sous-représentés dans l’enquête [2] ; enfin, les hommes tendent dans les enquêtes à sous-déclarer le nombre de leurs enfants, notamment suite à une séparation quand le lien est rompu, mais aussi à déclarer comme vivant avec eux des enfants qui résident en réalité ailleurs [3]. Références [1] Chaussebourg L., Baux D., 2007, L’exercice de l’autorité parentale après le divorce ou la séparation des parents non mariés », Rapport du Ministère de la Justice. [2] Breton D., Prioux F., 2009, Observer la situation et l’histoire familiale des enfants », in Régnier-Loilier A. dir., Portraits de familles. L’Étude des relations familiales et intergénérationnelles, collection Grandes enquêtes, Paris, Éditions de l’Ined, chapitre 5 143-167. [3] Toulemon L., 2005, Enfants et beaux-enfants des hommes et des femmes » in Lefèvre C. et Filhon A., Histoires de familles, histoires familiales, Les cahiers de l’Ined, n°156 59-77. En ligne [4] Régnier-Loilier A., 2006, À quelle fréquence voit-on ses enfants ? », Population et Sociétés, 427. [5] Chaussebourg L., Carrasco V., Lermenier A., 2009, Le divorce », rapport du Ministère de la Justice. [6] Villeneuve-Gokalp C., 2005, Conséquences des ruptures familiales sur le départ des enfants » in Lefèvre C. et Filhon A., Histoires de familles, histoires familiales, Les cahiers de l’Ined, n°156 235-271.
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l'essentiel Depuis 2017, en cas de garde alternée, les parents sont censés pouvoir obtenir le partage des versements de l'aide personnalisée au logement APL et du RSA. Cependant, certaines Caisses d'Allocations Familiales n'appliquent pas ce droit, en raison d'un problème de logiciel informatique, mixé parfois à de la mauvaise volonté. Arnaud, un Parisien, est l'heureux papa d'une petite fille, âgée de 11 ans. Il en a la garde alternée avec la mère de l'enfant, "avec qui il s'entend très bien", explique-t-il. Cependant, depuis trois ans, il bataille pour la prise en compte de son enfant dans le calcul de ses APL, ainsi que pour la Prime d'activité et le RSA, qu'il touche certains mois. "15 000 euros de perdus" "J'ai fait la demande à l'automne 2019. J'ai alors reçu un premier courrier de refus", raconte le jeune papa. Cette prise en compte, qui lui permettrait une majoration de ses aides, est cependant très importante pour lui. "Je perds environ 200 euros tous les mois. Ainsi, depuis 3 ans, les impayés sur mes droits se chiffrent à plus de 15 000 €", estime-t-il. Une situation qui met le Parisien dans une situation délicate. "Je n'ai pas pu payer certains loyers, ce qui nous place, ma fille et moi, en danger d'expulsion", explique Arnaud, qui se dit "très stressé par cette situation". "La bailleresse de mon logement, ces histoires de CAF, elle s'en fiche". En fouillant sur Internet, Arnaud se rend compte que de nombreux parents sont dans une situation similaire à la sienne. En effet, sur le forum des parents de l’Aisne, de la Sarthe, de la Vienne ou encore de Paris, se disent eux aussi victimes de ces carences. Et grâce à ses recherches, il découvre que cette prise en compte est de droit... Fin du principe de l’allocataire unique En effet, dans deux décisions de juillet 2017, le Conseil d’État a statué dans le sens du partage de l'aide au logement, ainsi que du RSA, en cas de résidence alternée des enfants. Une jurisprudence censée mettre fin au principe d’unicité de l’allocataire, qui signifie que l’enfant doit être rattaché administrativement à l’un ou à l’autre de ses parents. En matière de prime d’activité, plusieurs décisions de première instance ont été par ailleurs prononcées dans le même sens. De plus, à la suite de la modification du Code de la construction et de l’habitation, il est désormais explicitement énoncé à l'article L. 823-2 que "la charge de l'enfant pour le calcul des aides personnelles au logement est partagée entre les deux parents allocataires ... selon des modalités définies par voie réglementaire". Gestion manuelle La CNAF Caisse nationale des allocations familiales, dans un document transmis en février 2020 aux directeurs et comptables des caisses, et que nous avons pu consulter, prend note des décisions de justice. Mais indique que faute de logiciels à jour, cela relève d’une "gestion manuelle". Autrement dit, les agents doivent donc pour l’instant calculer les droits manuellement, ce qui est très complexe. "Dans l’attente d’une adaptation du traitement informatique, il est important de circonscrire le périmètre du partage aux seules réclamations expresses de partage de la part des allocataires", recommande ainsi la CNAF. "Cela signifie que lorsqu'il y a une première demande, ils répondent par un courrier de refus. Ce n'est que lorsque l'on fait une réclamation, que là , éventuellement, si un agent a le temps et la bonne volonté, il se penche sur le dossier, et fait un calcul manuel", explique Arnaud. "Cela dépend donc des CAF. Et la mienne n'applique pas le droit..." "C'est délirant" "C'est scandaleux, la CAF a quasiment organisé un système pour détourner les familles de leurs droits", déplore-t-il. "C'est délirant". D'autant plus que le nombre de parents potentiellement lésés est non négligeable. Selon l'Insee, en France, en 2020, 480 000 enfants mineurs vivaient en résidence alternée et passaient donc la moitié du temps chez chaque parent. Contactée par La Dépêche du Midi, la CNAF n'a pas répondu. Interrogée par La Croix, elle s'est défendue en déclarant que "pour l’instant, aucun décret concernant les modalités de partage n’est paru, et aucun texte pour les minima sociaux". Aujourd'hui, Arnaud, qui a saisi la justice, attend une décision du Conseil d'Etat. Il espère que sa demande y sera, enfin, sérieusement examinée.
SurInstagram ce mercredi 24 août, Justine Cordule (Familles nombreuses : la vie en XXL) a partagé avec ses abonnés de nouvelles photos d'un des plus beaux jours de sa vie, son mariage. Une
Encore un coup dur pour Jean-Pierre Elkabbach, évincé des débats de la primaire de la gauche L'intervieweur ne représentera pas Europe 1 lors du troisième débat de la primaire de la gauche. Capture France 2 Jean-Pierre Elkabbach lors du débat de la primaire de la droite Capture France 2 PRIMAIRE - Déjà privé de l'interview matinale sur Europe 1, Jean-Pierre Elkabbach ne sera pas non de la partie pour la primaire de la gauche. Le Parisien affirme mercredi 21 décembre que le journaliste est remplacé par Fabien Namias qui lui succédera à la rentrée le matin pour le troisième débat organisé avec France 2 le jeudi 19 janvier. L'emblématique intervieweur avait été la cible des internautes quand il avait arbitré le débat de la primaire de la droite, en novembre dernier. Beaucoup lui avait reproché d'avoir moqué le renouveau incarné par Bruno Le Maire alors qu'il a lui-même 79 ans. La radio a donc décidé de rajeunir l'arbitre qui officiera à côté de David Pujadas et Nathalie Saint-Cricq France2. Tous les trois interrogeront Manuel Valls, Sylvia Pinel, Vincent Peillon, François de Rugy, Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Jean-Luc Bennahamias. Une semaine plus tôt, le 12 janvier, le premier débat organisé par TF1 et RTL verra lui aussi un changement de troisième arbitre Alexis Brézet du Figaro cédera sa place à Mathieu Croissandeau de L'Obs aux côtés de Gilles Bouleau TF1 et Elizabeth Martichoux RTL. Il y a aura aussi des aménagements lors du deuxième débat diffusé par BFMTV et iTélé. Pas à la présentation où Ruth Elkrief et Laurence Ferrari sont reconduites mais dans les deux journalistes qui les avaient accompagnées pour le débat de la droite. Michaël Darmon a en effet quitté iTélé depuis; on ignore encore qui le remplacera. À voir également sur Le HuffPost
ManitobaLes belles lettres 11 mai 2016. Arnaud Maigre s'intéresse au verso de l’économie, au système de valeurs culturelles qui caractérise une économie, le recto étant le monde matériel (la croissance, le chômage, les taux d’intérêts, le PIB). L’économie est toujours pensée en termes de valeurs monétaires.
Invité sur le plateau de C à Vous ce jeudi 2 septembre, Arnaud Ducret a révélé le nom d'un acteur dont il est inconditionnellement fan. Grand admirateur de David Hasselhoff durant son enfance, Arnaud Ducret n'hésitait pas à l'imiter devant ses parents ou encore devant son miroir. Cependant, alors qu'il était de passage sur le plateau de C à Vous ce jeudi 2 septembre, le comédien a avoué être désormais un fan inconditionnel d'une autre star, plus proche de ses racines que l'ancien acteur de Alerte à Malibu. En effet, il est ébloui par les talents d'Albert Dupontel. "Dupontel, quand il est arrivé sur scène, c'était un mec en sueur, il avait une force sur scène."Les deux hommes ont même eu l'occasion de se rencontrer dans un train, alors que Albert Dupontel était en pleine promotion du film Au revoir là -haut. "J'étais tétanisé", s'est rappelé Arnaud Ducret. "Je lui ai dit 'bonjour Monsieur Dupontel.' Il m'a dit 'salut.' Il est parti s'asseoir." Mais saisi par le trac, fréquent lors d'une rencontre avec une idole, il a été incapable de se lancer dans une conversation avec l'acteur de 57 ans. "J'ai pas pu, je n'ai pas osé." Heureusement pour lui, Anne-Elisabeth Lemoine aime rendre Ducret a fait passer un message à Albert DupontelC'est pour cette raison que Arnaud Ducret a pu adresser un message en direct à Albert Dupontel. "Monsieur Dupontel, je vous adore", a-t-il déclaré, "mais je crois qu'il le sait peut-être un peu." Reste à savoir si le principal concerné est un fidèle téléspectateur de C à Vous. En attendant, Arnaud Ducret peut se consoler avec le savoir qu'il partage une ressemblance avec Albert Dupontel. "Vous avez le débit un peu saccadé de Dupontel", lui a fait remarquer Anne-Elisabeth Lemoine. Tout n'est donc pas perdu pour l'acteur.© FRANCE 5 2/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret a révélé le nom de l'acteur dont il est fan © FRANCE 5 3/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret a glissé cette révélation autour de la table d'Anne-Elisabeth Lemoine © Bruno Bebert 4/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret le 18 juin dernier © COADIC GUIREC 5/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret a aussi été fan de David Hasselhoff © Marc Ausset Lacroix 6/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret le 24 février 2020 © CYRIL MOREAU 7/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret le 18 janvier 2020 © CYRIL MOREAU 8/12 - Arnaud Ducret Il a rencontré Albert Dupontel dans un train © CYRIL MOREAU 9/12 - Arnaud Ducret Arnaud Ducret le 16 janvier 2020 © COADIC GUIREC 10/12 - Albert Dupontel Un rencontre qui l'a impressionné, tant il est fan de lui © COADIC GUIREC 11/12 - Albert Dupontel Albert Dupontel le 6 septembre 2019 © Laetitia Notarianni 12/12 - Albert Dupontel Albert Dupontel le 2 juillet 2016
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