Lasouffrance des filles. La fille dont le père a été absent pour quelque raison, sera en manque de cette affectivité dynamique, constructive et stimulante dont elle a besoin pour grandir. Elle saura moins se positionner dans l’affectivité, sera

C’était un lundi. C’était un 17 août. C’était il y a 6 pense que tu t’en doutais. Moi, je t’avoue que je m’inquiétais, mais pas à ce point. Pas au point de croire que notre court échange de ce lundi matin serait la dernière fois où j’entendrais ta me souviens de ces derniers jours comme si c’était hier. Ton genre de gastro » qui ne passait pas. Mes va voir le médecin c’est le week-end du 15 août si ça empire tu vas galérer ». Nos négociations, notre compromis promis si ça va pas mieux je l’appelle samedi, j’allais essayer ma robe de mariée retouchée. Il avait fallu faire sauter la fermeture éclair du bustier pour la remplacer par un lacet, une Maxi-Fille s’étant invitée dans mon bidon. Tu étais si fier. Toi, tu allais devenir Papy. D’une petite fille en plus. Toi qui voulait plein d’enfants et qui n’avait eu qu’une fille, grand père pour la première fois. Je me souviens de notre appel sur ce parking, tu étais si heureux du cadeau que nous t’avions offert pour ton anniversaire. Un kit bluetooth, pour qu’on puisse s’appeler n’importe quand. Bha oui, on s’appelait me souviens du dimanche. Je me souviens de cet appel. Je me souviens t’avoir demandé pourquoi tu toussais autant. Je me souviens de ton doux et rassurant je tousse pas, je vomis ». Ouais, même comme ça tu te voulais eu peur. Je t’ai proposé de venir. Tu as refusé et j’ai choisi de respecter tes choix, ta puis il y a eu ce lundi. Notre dernier RDV avec le prêtre. La préparation de notre mariage qui avait lieu 12 jours plus tard. On cale les musiques, on revoit l’organisation. D’instinct, je t’appelle avant, vérifié que tu as bien appelé le médecin. Je crois me souvenir que tu as écourté la conversation. Fatigué. Tu l’attendais dans la ne savais pas que plus jamais je n’entendrais ta voix. Je ne savais pas que tu ne verrais jamais ma robe de mariée. Je ne savais pas que tu ne verrais jamais naître mon enfant. Certes, il y avait ce putain de cancer, mais naïvement, j’y croyais à ta force, à ta combativité, à notre bonne étoile, à la ne pensais pas que tu partirais si vite. Que je n’aurai même pas le temps de venir te faire un dernier bisou. Une hospitalisation en urgence le lundi midi, et à 16h tu étais déjà parti. J’ai appris ça sur une aire d’autoroute, comme une conne. En essayant d’appeler ta chambre qui ne répondait pas. Je me souviens des mots de l’infirmière qui m’a dit c’est fini ». Je me souviens de mes hurlements primaires, des Non », des C’est pas possible », des je veux pas ».Je me souviens de tout comme si c’était hier, minute par minute, je n’oublierai il y a 6 ans, et je crois que je réalise seulement tu ne m’as pas emmenée à l’autel comme c’était prévu. Que tu ne connaîtras jamais mes 3 enfants. Que je ne verrai plus tes magnifiques yeux bleus et ton sourire rieur. Que je n’entendrai plus jamais le son de ta voix. Que l’on ne passera plus des heures au téléphone tous les 2, pour se raconter des banalités, juste pour se je ne pourrai plus jamais te dire à quel point tu as été un papa merveilleux. Extraordinaire même. Que je te dois tout ce que je suis aujourd’hui. Que je ne pourrai plus m’asseoir sur tes tu aurais 63 ans, mon vieux. Mon jeune vieux. Mon père, mon perrot, le premier homme de ma tant aimé te tenir la main dans ces derniers instants. La serrer fort dans la mienne. Te dire à quel point je t’aimais, putain qu’est ce que je t’aimais. Qu’est ce que je t’aime en fait. Qu’est ce que tu me les jours, chaque jour qui passe, pas une heure ne passe sans que je pense à toi. A ce qu’on aurait pu faire ensemble. A ce qu’on a vécu. Tu es parti trop tôt, j’ai mal au cœur, j’ai mal au bide, j’ai mal partout. Tu me manques, j’ai envie de te dire de revenir, de me prendre dans tes bras, de m’embrasser. Mais je sais que ça n’arrivera jamais. J’ai envie de te dire que je suis tellement, tellement fière de toi, de ta force, de ta ténacité, de ta vie est injuste, cruelle et injuste. Tu me manques, mon père. Tu me manques, Papa.
Toutça me venait de mon enfance et de mon adolescence où j'ai dû assumer pas mal de choses (être la petite fille modèle de mon papa, être le garçon qu'il aurait voulu avoir, être la parfaite petite épouse pendant la maladie de ma mère, être la mère de ma maman à son retour de l'hopital, ). J'ai découvert tout ça en lisant
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois italien Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Et souviens-toi, j'ai bien connu papa. Si maman n'avait pas connu papa. J'ai retrouvé quelqu'un qui a connu papa en Russie. C'est elle qui a le moins connu papa et c'était pas un modèle. Si c'était une personne, il ou elle avait connu papa. Se Black era una persona, doveva aver conosciuto papà in qualche modo. Tu sais comment j'ai connu papa? - Non. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 7. Exacts 7. Temps écoulé 43 ms.
Jaipas connu papa mais maman elle a gérer pourtoi fyp maman mamanagerer sanspere geniteuretpaspere. Je pensais que cette blessure était guérie, mais jai dû me rendre à
C'est un jeune garçon qui grandit depuis dix ans dans l'ombre et le souvenir de son père. Six ans avant sa mort, le 24 août 2012, Jean-Luc Delarue était devenu papa d'un petit Jean, né de son union avec l'écrivaine Elisabeth Bost, qui le protège de toute médiatisation. Jean ne s'était pas rendu aux obsèques de son père, qui s'étaient déroulées dans un contexte particulier. Il y a dix ans, le 24 août 2012, la France apprenait la mort de Jean-Luc Delarue, grande personnalité de la télévision qui avait succombé à plusieurs cancers simultanés mais surtout à de lourdes addictions qu'il avait combattu toute sa vie. Un décès difficile pour ses fans, pour sa famille, mais surtout pour son fils, le petit Jean, qui n'avait à l'époque que 5 ans et demi. Né du mariage entre le présentateur et l'autrice Elisabeth Bost, qui s'étaient séparés en 2009, le garçonnet n'avait pas assisté aux obsèques de son père. Une décision réfléchie par sa mère, qui devait gérer un contexte très particulier. En effet, alors que les relations entre elle et son ex-mari étaient plutôt fluctuantes après leur divorce, elles s'étaient brutalement tendues après le remariage de Jean-Luc Delarue avec sa nouvelle femme, Anissa, en mai 2012. A tel point que le présentateur avait alors banni son ex et ses parents de ses obsèques. La jeune maman, en colère de la situation mais voulant apaiser les choses pour son fils, avait alors pris l'avis d'un professionnel avant de prendre une . Un moment difficile pour elle, comme elle l'a raconté en interview pour nos confrères de Télé Star. "Il ne voulait pas du tout aller au cimetière. J'ai demandé conseil à une pédopsychiatre qui m'a dit 'Il faut arrêter avec l'injonction du cimetière. Si l'enfant n'en a pas envie, il ne faut pas le forcer. Il faut simplement qu'il sache qu'il peut s'y rendre s'il le souhaite. ' Si vous saviez les questions qui m'ont traversé la tête". Un jeune homme qui grandit dans la plus grande discrétion Peu à peu, le jeune garçon qui voit désormais son père comme "une force bienveillante, une étoile qui le protège" et aujourd'hui âgé de presque 16 ans, a remonté la pente, notamment grâce à une technique de sa maman "Quand il était petit, je lui ai proposé d'envoyer des messages au ciel. Il a continué. Pour la fête des Pères, l'anniversaire, Noël... il lâche des ballons. Petit, il lui a envoyé toutes sortes de choses, des tickets à gratter, des autocollants Panini elle sourit, aujourd'hui il écrit". Une maman toujours attentive au bien-être du jeune homme, à qui elle "rappelle des souvenirs heureux". Pour autant, elle sait que tout n'est pas gagné pour lui "C'est un enfant joyeux, il aime la vie, cuisiner, ses copains, mais il a encore beaucoup de moments de vague à l'âme. D'insécurité. Peur que je disparaisse à mon tour par exemple. Il garde une angoisse de la séparation il est beaucoup à la maison, il ne part pas en vacances chez un copain. Il a besoin de choses cadrées, de routines, d'une maman beaucoup là... Mes priorités sont de le protéger et de lui redonner confiance en lui." Jarrivais enfin aux écuries mais pensais que de la me. La Clairière: Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. La Clairière. Mon paradis : Mon lapin ne mange plus : que faire ? L’alimentation est importante et primordiale pour le bien-être de tous les animaux. Il est

Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Rues de Londres Les DocksPage 1 sur 1Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia EvansPersonnel de Poudlard Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Lun 13 Avr - 034 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Insultes/Vulgarité, Substances illicitesAfficher quand mêmeRP avec Angelina FrewliadSaison 31 - PrintempsLA accordéJ't'accorde mon LA tout le long du RPJe suis enfin seule. Je peux enfin me laisser aller. Je n’ai plus à faire semblant. C’est grisant. Je m’assoie au bord des docks, les pieds qui pendent dans le vide. Je ne fais pas attention aux autres autour de moi. De toute façon, est-ce que j’ai déjà fais attention une fois dans ma vie ? Je n’en suis vraiment pas sûre. Je regarde au loin comme si ça allait me donner la réponse. Et la réponse à quoi ? Aucune idée. Je crois que je suis paumée. Mais encore plus qu’auparavant. Je ne sais pas ce qui me pèse sur le coeur mais je sens que je suis bouffée par quelque chose d’inconnu ou même quelque chose de tellement connu que je préfère nier. Le déni, c’est une belle chose, non ? Je crois que j’en suis devenue la spécialiste au début de ma vie adulte. - Arrête de te prendre la tête, t’as une belle vie maintenant. Tu dois t’occuper de ton fils, ton compagnon est là et te soutiens. » Et alors ? Est-ce que c’était suffisant pour continuer à me donner le sourire ? Bah visiblement non. Toujours à faire semblant. J’en ai marre. M*rde. Pourquoi il faudrait que je fasse un effort ? Oui, oui je sais. Pour le petit. Il est né, j’ai plus le choix. » Je peux plus continuer à me détruire constamment. C’est pas une vie. Ni pour moi. Ni pour lui. Et puis, Damian il est là. Il essaie tant bien que mal de me soutenir et de m’éloigner de mes démons. Je ne peux pas lui faire subir ça constamment. Je jure que j’ai fais des efforts. Mais parfois c’est compliqué de se retenir. Le passé qui revient soudainement, qui me tire vers le fond. J’ai l’impression que c’est sans fin. Non mais je suis en train de devenir tarée. Je commence même à parler toute seule. Allez, t’es une adulte maintenant. T’es même une maman. Allez Malicia, on se reprend. » Je me redresse, tente tant bien que mal de remettre de l’ordre dans mes idées. Mais bordel. J’ai l’impression que je lutte contre moi-même. Je soupire, récupère un de mes produits préférés et l’avale sans plus de cérémonie. Oh et puis m*rde. On luttera plus tard. » Je me laisse aller. Ca reste quelque chose d’innocent. Je ne suis plus au même stade qu’avant, ce n’est plus aussi grave. Si ? Oh et puis, je m’en fous. J’ai envie de penser à moi pour l’instant. Ca serait pas si mal. Je crois. Enfin, je sais pas. Je ne suis sûre de rien. Oui, je suis définitivement plus paumée qu’avant. Foutus souvenirs qui refusent de me laisser en paix. Des pas me sortent de mes pensées. Même si les rues alentours sont pleines, il n’y a personne qui passent vers moi. Je relève la tête vers l’origine des pas, baissant mes lunettes de soleil Oui ? », je garde un sourire de façade, espérant secrètement qu’on ne vienne pas me dégager des docks. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Lun 13 Avr - 2238 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mêmeSaison 31Printempsavec MaliciaLA accordé pour tous le RP Une lettre n'annonce pas toujours de bonnes nouvelles. T'avais reçu un courrier de ta sœur cadette, Maman allait pas très bien, Maman va rarement bien depuis le drame. Alors d'habitude t'avais le dessin pour décharger, les sorties pour vagabonder et t'occuper mais là c'était un peu trop pour toi. Pourquoi là t'avais pas réussi à gérer tu savais pas bien, peut-être parce que pour la première fois depuis longtemps tu sentais que ta sœur avait besoin de toi, vraiment, mais est ce que t'étais encore capable d'assumer à ce point ? Une heure, deux peut-être que t'avais cette fichue lettre dans les mains sans savoir quoi faire, tu voulais pas fuir mais t'avais besoin d'y réfléchir, retourner dans le manoir familial, revoir cette fenêtre, revoir ce jardin, tu savais pas si tu pouvais. T'avais toujours tout affronté à ce sujet, les regards, les commérages mais tu devais rester forte, Maman avait besoin de toi, Abril avait besoin de une bouteille t'avais tapé dans l’œil, vieille amie de galère. Alors c'était tout vu, aujourd'hui tu retombais dans tes travers, tu te laissais aller, juste une journée ça pouvait pas te tuer si ? Ta bouteille, un verre et le tour était joué, t'avais oublié pourquoi tu buvais, du moins tu te persuadais que t'avais oublié. T'avais fermé les yeux, chose à ne pas faire quand t'as de l'alcool dans le sang en cette quantité. Une main qui pousse, puis des cris, et c'était reparti, les images surgissaient, tu voulais pas les voir, tu voulais pas. Alors vite, les comprimés, bien cachés au fond de ton armoire. Tu les avais regardé longuement avant des les prendre, tu t'étais détachée de ça, il y a bien longtemps. Mais là c'était l'urgence, alors un nouveau verre pour avaler la pilule au sens propre comme littéral. Et maintenant c'était sacrément bruyant dans ton appartement, tout semblait raisonner, tu commençais à voir un peu trouble même. Tu savais que ça te tuerait pas ton mélange, tu l'avais fait dans le passé, une seule solution aller prendre l'air. Les docks, parfait pour respirer. Alors t'avais marché, combien de temps tu savais pas vraiment. Puis t'étais restée un peu en retrait mais t'avais entendu une femme, qui semblait être de ton âge ou pas loin, parler, seule. T'aurais aimé faire ça aussi, mais t'arrivais pas, alors juste t'avais écouté, c'était indiscret oui, mais t'avais ce sentiment que vous étiez un peu pareille perdue sur le fil du temps. Elle t'avait interpellé la femme parce que t'avais rien trouvé de mieux que de marcher dans sa direction, sans chanceler étonnamment, même si tes yeux renvoyait bien les abus de ta journée. Elle souriait, pourtant t'avais bien entendu, bien compris que c'était pas la joie alors vous savez, on a tous le droit de lâcher les chevaux, personne est parfait enfin je crois, puis vous avez l'air de l'aimer votre fils, faut pas vous en faire comme ça. Sans invitation tu t'étais assise à côté d'elle, après tout, vous aviez l'air dans le même état psychologique, c'était peut-être pas plus mal de rester ensemble ne serait-ce qu'un moment, dans le pire des cas elle te dirait de dégager. Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Mar 14 Avr - 209 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances licitesAfficher quand mêmeJe regarde la femme, un léger sourire aux lèvres. Elle a les mots qu’il faut mais qui sonne aussi tellement faux. Elle ne me connait pas, elle ne sait pas à quel point je peux vriller, tout abandonner sans le moindre remord. Mais je ne peux pas lui en tenir rigueur, elle s’est juste rajoutée à la conversation. D’ailleurs quelle conversation ? Ce n’est juste qu’un face à face avec moi-même. Je suis loin d’être parfaite, je le sais et justement je le regrette. J’aimerais être une mère parfaite pour donner une vie fabuleuse à mon fils. Et plus ça va, plus j’ai peur de ne jamais y arriver. Et quand j’ai peur, ça me bouffe. Je me sens tourbillonner au coeur de ces émotions négatives. Et il n’y a rien qui arrive les calmer. Sauf mes travers. Je lutte contre ces démons depuis des années et il me suffit d’un peu de mal-être et je replonge directement. C’est n’importe quoi. Oui, je l’aime. Mais une famille ça peut tellement se détruire si facilement. J’ai peur d’en être la cause. » Ou j’en suis déjà la cause et je refuse de l’assumer. C’est compliqué. J'ai tenu pour le petit, j'ai lutté encore et encore pour au final, retomber dans mes travers aussi vite qu'à l'époque. Même si j'aime mon fils plus que tout au monde, je ne suis absolument pas capable de l'assumer. Nous avons fait une belle erreur. J'aime Enzo mais je me rends compte qu'il n'aura jamais la vie qu'il mérite. Je ne pourrais pas lui donner. M*rde. Quelle mère je fais. Je la regarde s’asseoir à mes côtés. Je remarque ses yeux vitreux et je comprends qu’elle est dans le même état que moi. Dure journée ? » Pourquoi est-ce que je pose la question, ça me semble évident. On ne va pas bien aujourd’hui, il faut pas être devin pour le remarquer. Ma poche me démange. J’ai encore envie d’abuser. J’ai l’impression de ne jamais en avoir assez. C’est quand même fou. Alors c’est ça, la toxicomanie ? Ne jamais être rassasiée. Ne jamais vouloir arrêter. Même quand on sait que tout ça nous détruit ? Quel bordel cette histoire. Je me trouve n’importe quelle excuse pour pouvoir me niqu*r les neurones. Tu crois qu’un jour… ouais je te tutoie, ça te dérange pas ? On est dans la même galère après tout… Enfin j’disais tu crois qu’un jour on pourra lâcher tout ce qui pèse sans passer notre temps à nous blesser ? » J’aimerais y arriver. Pouvoir lâcher ce que je ressens, ce que je pense sans m’effondrer dans la minute qui suit. Pourquoi est-ce que j’ai l’impression de ne pas en être capable ? Le passé est si compliqué à assumer ? Pourquoi est-ce que je suis la seule de mon entourage à galérer à ce point ? Les autres le cachent peut être mieux ? Aucune idée. Discrètement, je récupère une bouteille de mon liquide ambré préféré et sans réfléchir, j’en bois quelques gorgées avant d’en proposer à la jeune femme à mes côtés. Je pensais pas vouloir d'une compagnie mais finalement sa présence me fait un peu de bien. Ca faisait longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui pouvait comprendre, qui pouvait juste être là sans me donner des conseils bidons et sans intérêts. Quelqu'un dans la même détresse émotionnelle que la mienne. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Mer 15 Avr - 1831 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances licitesAfficher quand même Un regard et un sourire qui ne trompe pas, elle était triste cette femme, encore une âme brisée par son passé sûrement, après tout, t'étais comme elle, ou elle était comme toi, fusion de deux êtres qui se sentent incompris. Tu la regardais depuis un moment, depuis qu'elle s'était mise à parler, seule apparemment parce qu'il y avait personne qui s'arrêtait sur elle, sur toi, sur elle avait répondu, au moins elle ne t'avait pas viré c'était une chose de prise, parce que là t'avais pas envie de retourner à ta solitude, ça pèse d'être seule parfois. Pourtant sa réponse te faisait frémir, la famille c'est si fragile oui. La tienne elle avait valsé en éclat il y a bien longtemps alors t'en savais quelque chose. Au final tu t'en étais pas si mal sortie, fallait juste bien regarder ce que ça aurait pu donner. C'était pas aux autres de faire tout le boulot après tout, c'était ta responsabilité aussi de devenir ce que tu voulais, c'était ta vie après tout. Alors pendant qu'elle t'observait l'inconnue t'avais qu'une idée en tête, la rassurer, lui dire que tout allait bien, que rien n'était grave, mais pas avec des mots futiles qui sont là pour faire jolis, plutôt en questionnant parce que vous pensez qu'un homicide et un suicide c'est une destruction ou une renaissance pour se libérer d'un truc ? Enfin j'crois que j'ai jamais tenu pour responsable ma famille, l'amour ça vaut tout. Vous lui donnez de l'amour, ça a l'air, puis au pire regardez j'en ai pas beaucoup eu et je suis pas en trop en mauvais état, bon sauf aujourd'hui...Comme elle l'avait souligné après, la journée avait été dure oui. Une compréhension, elle t'a regardé en disant ces mots et t'as sentie qu'elle savait déjà, qu'elle était comme toi, perdue, entre abus et raison. C'est pas simple comme situation, tu savais pas quel hémisphère de ton cerveau étriqué fallait que tu écoutes. Elle devait être pareil vu les questions qu'elle se posait. Le tutoiement était de mise quand on se retrouve dans cette galère qu'est la vie sans se connaître mais en partageant tant de choses en même temps. Ces mots raisonnent en toi, est ce qu'il est possible de tout envoyer valser derrière soit, se décharger ? A vrai dire t'étais dans le même questionnement, tu voulais pas replonger, tu voulais pas. Mais tes devoirs t'appelaient, comme pour te rappeler que t'avais vécu tout ça, que tu t'étais sentie responsable et que c'était justifié. Ta vie c'était parfois le bonheur, le reste du temps un rêve chaotique et ininterrompu où tout s'enchaînant, sans ordres ni priorités. Au final t'étais pas seule à penser à tout ça, c'est cool, c'est presque grisant de voir que quelqu'un te comprenais, sans forcément tout étaler, sans te dire que tout allait bien se passer. Puis elle t'avait offert le partage autour de sa bouteille, comme si boire ce truc ça allait diviser la peine en deux, que vous alliez communier presque. Alors t'avais avalé une grande gorgée, ça pique mais ça fait sentir vivante, et au final j'pense qu'on peut se tutoyer oui, et je sais pas si un jour on pourra tout lâcher, il y a toujours un truc qui te rappelle à tout ça, faut juste trouver une sorte d'armure qui empêche de sentir les blessures, mais ça je crois que ça existe pas encore. T'avais redonné sa bouteille à la femme à tes côtés, pas pour continuer à s’enivrer pour s'amuser ou oublier mais pour sceller ce moment, moment où t'espérais pas tout résoudre, juste partager parce que comment on fait quand on se sent responsable de la mort de deux personnes qu'on a aimait ? Quand on se dit qu'on aurait pas été sur cette Terre la vie de 4 personnes seraient meilleure ? Main dans la poche, t'avais sorti tes cachets, t'en avait repris un, fallait faire passer la édition par Angelina Frewliad le Jeu 16 Avr - 831, édité 2 fois Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Jeu 16 Avr - 252 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mêmeJe suis terrorisée. Je crois que j’ai peur d’aller mieux. En réalité, c’est quelque chose que je ne connais pas. Je connais l’autodestruction, je connais le mal-être, je connais la colère. Mais la joie, l’amour je ne connais pas. Je la maîtrise en façade parce que j’ai dû apprendre à m’adapter mais rien de plus. Le passé me rattrape toujours. Alors, parfois je décide d’arrêter de courir, parce que j’en ai marre de fuir. J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à fuir quelque chose d’immatériel. Et plus ça va, plus je me rend compte que je suis loin d’être la seule. Il y a sûrement des personnes qui le cachent mieux que d’autres, je n’en fais définitivement pas partie. J’aimerais ne plus rien ressentir, j’aimerais que mon âme soit enfin apaisée mais pour ça, je ne suis pas sûre qu’arrêter de ressentir les blessures soit judicieux. Un jour l’armure ne fonctionnera plus et on revivra tous ces souvenirs avec violence. Ces blessures seront toujours là et on repartira dans ce même cercle vicieux. En fait, peut-être qu’une fois blessé on ne peut plus aller mieux ? Nous ne sommes plus qu’un mensonge aux yeux des autres. Nous montrons un aspect de nous bien loin de la réalité. Parce qu’il le faut. Parce qu’on ne peut pas être triste et torturé continuellement. On finit par s’isoler. Et une fois seul, elles, elles sont là. Les substances. Quand tu n’as plus personnes, quand tu ne vois plus aucune issues, elles sont là, elles font taire toute cette douleur pour un temps. Elles t’éloignent de cette solitude. Elles sont là, elles. Mais elles finissent par devenir meurtrières. Elles ne t’aident plus. Et de là, on se sent coupable. Coupable d’avoir commencé. Coupable d’avoir succombé. Coupable d’être mal. Coupable de ne pas être à la hauteur. Je récupère la bouteille pour la ranger dans mon sac, aussi rapidement que je l’avais culpabilité est destructrice. Elle se nourrit de nous et nous vide. C’est si compliqué de s’en débarrasser. Je cueille tes mots en même temps que ta détresse. J’en ressens même les émotions. Je ne sais pas comment se débarrasser cde cette culpabilité, je ne sais même pas vivre avec. Mais je crois fermement qu’elle est l’expression la plus sincère de l’amour qu’on porte à nos proches. Notre vie sera toujours faites de haut et de bas, il y aura toujours la vie et la mort. Et je pense qu’il faut se concentrer sur ce que vous avez vécu de positif », ne pas oublier la fin tragique mais se dire que leur temps était écoulé, à la manière d’un sablier. Nous sommes missionnés sur Terre dans un but particulier. Où leurs vies auraient pu être bien pire. Je pense que vivre au conditionnel est bien trop destructeur. » Je regarde les comprimés, l’oeil brillant, les doigts picotant. J’aimerais pouvoir me retenir mais je sens mes muscles se tendre d’appréhension. L’envie me prendre aux tripes, ça me brûle jusque dans les veines. Alors je récupère ma cuillère et la poudre moldu que je m’empresse d’amener à ma narine. Je n’arrive même plus à déterminer si c’est seulement mon corps qui en a besoin ou seulement moi qui en ait envie. La seule chose dont on est vraiment responsable, c’est nous. » Mais un jour, nous irons mieux. Je veux y aujourd’hui, on se laisse verra après. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Lun 20 Avr - 1523 Se concentrer sur le positif, ça t'avait fait sourire, parce que l'une comme l'autre vous étiez trop paumées à cet instant pour penser positif. C'est drôle comme l'être humain sait ce qu'il devrait faire, mais comme il peut être tétaniser devant ses douleurs et blessures. A vrai dire, t'avais pas vécu beaucoup de positif avec ton frère, c'était dispute sur dispute, comparaison de caractère, d'intelligence, de tout. Il serait tout et toi te ne seras rien, voilà ce que c'était son avis. Puis il y avait eu un rapprochement, t'avais cru bien faire en entrant dans son monde, peut-être que secrètement t'aurais voulu le sauver. Au final, c'était pas des gens qu'il fréquentait qu'il aurait fallu le sauver, mais de lui père était devenu fou en te voyant rentrer en te tenant l'épaule, c'était d'ailleurs un miracle que tu en ais gardé qu'une cicatrice, imposante, mais t'avais ton bras. T'avais par contre perdu un frère et un père. C'est sûr que leurs vies auraient pu être bien pire, ton père avait réalisé son rêve d'idéal fonder une famille et vivre de sa passion. Mais qu'est ce qu'il en restait de tout ça ? Des ruines. Ruines de souvenirs qui s’effondraient brique par brique à mesure que Maman pourrissait dans ce manoir. Etre seulement responsable de soi même, c'était vrai. Mais t'étais responsable ce soir là, de t'être laissée embarquer dans un plan galère. T'avais trop bu, t'étais pas dans un état qu'on qualifierait de présentable, alors la bande de ton frère te paraissait sympa, t'avais commencé à bien discuter avec un des garçons. Il te faisait rire, il était sympa mais ton frère te regardait d'un mauvais œil. Toi t'avais rien voulu faire de mal, je voulais juste m'intégrer à sa bande, à mon frère tu vois, mieux m'entendre avec lui, mais il a vrillé. Alors que tu dis ces mots tu te touches l'omoplate gauche, tu ressens encore la douleur parfois, comme si son âme était encore ici, en train de te que oui, d'après lui t'étais allé trop loin, tu voulais lui voler la vedette, tu voulais lui prendre tout ce qu'il avait. Est-ce que c'était l'alcool ou bien juste lui qui devenait fou ? T'en savais rien, tu le saurais jamais. Enfin bref, il t'avait attrapé par les cheveux, une fois au sol tu lui avais demandé d'arrêter, certains de ses amis avaient aussi voulu le calmer, peine perdue, une fois déchaîné, t'avais juste subi, en hurlant à la mort parce qu'il avait martelait ta chair, à vif désormais. Le bras pendant t'étais partie, rentrer coûte que coûte au manoir, ne pas en parler à Papa. Papa serait furieux. Sauf que manque de bol t'avais pas pu l'éviter, t'avais mis trop de temps à rentrer, il était réveillé, il vous attendait pour vous faire la moral sur les sorties. Des cris, des pleurs de Maman, et Papa. Papa qui avait juré qu'il retrouverait grand frère, mais il fallait te soigner, tu saignais beaucoup. Puis quelques jours après ça, il était rentré à la maison ce fameux frère, ton père lui était tombé dessus, et on connait l'histoire qui suit. Une dispute, une bagarre, une fenêtre deux morts. Tu avais un sourire en coin, au final c'était triste, mais t'étais dans un état second qui te faisait trouver ça presque risible parce que j'étais jeune, trop jeune pour comprendre que parfois faut pas tenter de sauver le diable, je l'aimais hein, faut pas croire, mais c'est compliqué de lui trouver une excuse d'avoir tué Papa tu vois ? Pardon, j'te raconte ça mais c'est mes histoires, toi aussi tu dois avoir ton lot de galères... Après tout, tu venais sans t'en rendre compte de lui expliquer dans les grandes lignes pourquoi des démons te hantaient, si elle voulait elle pouvait faire de même, t'avais de bonnes oreilles et puis on se foutait du temps qu'on passait ici non ? Tant qu'on y était bien, enfin ce qu'on peut appeler aller bien dans votre cas. Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Jeu 30 Avr - 1944 retard, retard, sorryyyy Est-ce que tu aurais pu y croire une seconde ? De tomber sur quelqu’un d’aussi torturée que toi. Vous n’êtes probablement pas torturée tout le temps mais il y a des jours où vous sombrez. Maintenant en l’occurence. Encore rencontrer quelqu’un avec un passé douloureux, ça pouvait sembler commun. Mais que tout cela se passe à un moment où vous n’êtes pas bien en même temps. Faut avouer que ce n’est pas anodin. Sans comprendre pourquoi, tu cueilles ses mots. Tu écoutes. Tu comprends. Comme tu l’as toujours fait. Des mots d’une jeune enfant blessée par la vie. Elle semblait bien avoir ton âge mais la douleur qu’elle te renvoyait, te faisait penser à une jeune fille. Une petite soeur qui fait tout se faire accepter, qui cherche contre toute attente l’approbation de son frère. Mais a quoi bon chercher à se faire accepter par quelqu’un qui visiblement ne le voudra jamais. Tu finis par te blesser. Et oui, ça ne sert à rien de sauver quelqu’un qui ne veut pas l’être. Tu as fini par le comprendre plus tard. Tu t’es acharnée à aider, à chasser les démons des autres, peut-être avec l’idée derrière qu’on le fasse pour toi. Parce que dans ton cas, tu n’arrives pas à te sauver. Aider les autres, c’est toujours plus simple que s’aider soi. Et tu n’y arrives pas. Tu n’es peut-être pas destinée à aller mieux ? Oui, un moment tu as cru que tout allait passer, parce que tu as rencontré les personnes qu’il faut, qui foutent des claques, qui te font avancer, qui te font parler. Des années sont passées avant que tu parles vraiment, en toute sincérité. Une sincérité qui brûle moins la langue, j’ai été abandonnée par mes parents, jeune » trop jeune. Cinq ans tu te fais jeter par ta famille biologique, tu termines en foyer pour te faire adopter par un couple charmant. Seulement un temps. Parce qu’une fois que tu découvres que tu es une sorcière, ils t’abandonnent à leur tour. Une jeune fille de onze ans livrée à elle-même. Je me suis isolée, c'était plus simple, plus sûr. » Seule, tu étais sûre de ne pas être déçue. Tu ne voulais plus être abandonnée, eh oui, tu ne pouvais plus être atteinte par la cruauté des autres. Mais non, des inconnus m’ont agressés, à 17 ans. » et là tu as commencé à t’abandonner toi-même. Ton corps lui-même s’est laissé faire alors que tu ne voulais pas. Alors à qui tu peux faire confiance ? Personne. Même pas toi. Tu aurais préférée mourir. Tu ne souffrirais plus maintenant, plus qu’un lointain souvenir. J’arrive pas à oublier. » Tu ne pourras jamais. Et tu le sais mais tu n’arrives pas à passer au-dessus non plus. Alors comment on fait ? Tu te retrouves dans une impasse. Maintenant, je suis maman et je fais comme si tout allait bien pour mon fils », parce que tu lui dois et que tu ne peux plus continuer ainsi. Alors tu souris, doucement, balancé légèrement tes jambes dans le vide, fixant l’horizon ne t’excuses pas de me raconter tes histoires, parfois ça fait du bien de lâcher. Des galères différentes mais tout aussi pesantes. » Tu l’as regarde alors, tes yeux bleus sans lueur, froids, indifférents mais un léger sourire transperce toute cette noirceur dans le regard. On continue de vivre malgré tout. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Dim 24 Mai - 100 J'suis outrée par mon retard, désolée désolée désoléeD'ordinaire tu souriais, tu embrassais la vie depuis ce jour où elle t'avait épargnée, tu portais sur ton omoplate le souvenir de ce que tu devais au destin. Enfin, du moins tu y avais cru au départ au destin, au final le destin ça n'existe sûrement pas, suffisait juste d'être né au bon endroit, au bon moment. Visiblement la blonde était comme toi sur ce point, vous étiez pas tombées au bon moment ni même au bon endroit. Ce qu'elle te racontait c'était dur, tellement dur qu'elle semblait être immunisée, du moins elle ne laissait plus rien paraître. C'était presque une performance, quelque chose qu'il faut applaudir parce que peu de gens pouvaient survivre à tout ça, elle l'avait fait envers et contre bois ses paroles, tu comprends sa peine parce que bien que les histoires soient différentes, tu as acquiescé sa remarque de la tête, ces histoires elles pèsent. Fallait pas se laisser aller, tu regardais la blonde te sourire, avant de continuer à constater qu'on a des vies moisies, moi c'est Angelina, et toi tu t'appelles comment ? Après tout, t'avais cette sensation que vous étiez amenées à vous recroiser prochainement, parce qu'elle ne disparaîtrait pas dans l'oubli, elle avait un fils, quelqu'un pour qui il fallait continuer de vivre, ton fils a besoin de toi pour pas vivre ce que t'as vécu, pis aussi parce qu'il t'aimera toujours inconditionnellement, il paraît que les enfants sont les meilleurs pour ça, un léger sourire, ça te donnerait presque envie d'en avoir là, maintenant, ou bientôt, enfin tu verrais t'étais reposée sur tes coudes, regardant le ciel, c'était une page blanche pour toi, tu pourrais faire ce que tu veux dedans, si c'était si facile de faire ça avec la vie, tous les jours on effaçait et on recommençait tout, t'imagines si on pouvait tout effacer et faire table rase du passé, tu tournes la tête pour la regarder, tu voudrais toi tout effacer ? Oublier tout ça quitte à perdre une partie de ce que tu es devenue aujourd'hui ? En y réfléchissant tu le voudrais pas, parce que pour avancer t'avais besoin d'accepter, accepter que tout n'était pas rose que rien n'était facile ni gagné, mais que tout ce qui pouvait être pris méritait de l'être, l'espoir pouvait toujours renaître. Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Contenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

Avaa toujours cru que son père l'avait abandonnée à la naissance. Mais il s'agit en fait d'un mensonge de sa mère, qui refuse que père et fille se rencontrent. Grâce à sa tante Josefa, Ava nouera peu à peu un lien avec cet homme inconnu. Un texte sur la relation père-fille. La maman solo est-elle plus compatible avec son alter ego masculin ou le célibataire qui n’a jamais connu les joies des nuits blanches sans sortir de chez soi ? POINTS COMMUNS ENTRE MAMAN SOLO ET PAPA SOLO En effet, le papa solo présente l’avantage d’avoir beaucoup de points communs avec les mères célibataires. Il connaît le bonheur et les difficultés à élever les enfants, les contraintes de temps et d’argent du quotidien. En plus d’être un amoureux, c’est l’ami idéal pour comprendre facilement notre fatigue, notre manque de temps, les inquiétudes sur les finances. Il aura de l’empathie. Il sait le poids d’être responsable de tout, la solitude à tout gérer seule, la peur d’être malade, de ne plus pouvoir nourrir, de plus pouvoir s’occuper de ses enfants. Il sait naturellement que la maman solo est aussi fragile que courageuse jonglant en permanence avec des tâches multiples. Il sait qu’être parent solo peut être stressant. Il acceptera plus facilement qu’elle annule un rendez-vous à la dernière minute pour cause de baby-sitter indisponible ou d’enfant malade Il pourra même la soutenir en lui donnant des conseils pratiques d’organisation, de vie, de bons plans liés à sa propre expérience de parent. Il a sa vie organisée de papa indépendant. Il ne sera donc pas toujours présent. Il ne sera pas collant, une relation fusionnelle avec lui, c’est mission impossible. Et si c’était le cas, tu devrais te demander pourquoi il passe si peu de temps avec ses rejetons. S’il est dans une relation conflictuelle avec son ex, s’il y a de la souffrance ou de la peur liée à cet échec amoureux avec la maman de ses enfants, si sa séparation est récente, il y a plus de chances qu’il recherche une relation légère, sans prise de tête…ce qui n’empêche pas la relation d’évoluer vers une relation durable. Quoiqu’il arrive, le papa solo comme la maman solo prendra son temps avant de se ré-engager dans une histoire sérieuse. Il a été blessé, il a besoin de temps pour mieux connaître sa nouvelle petite amie, la découvrir, retrouver confiance en sa capacité à rendre une femme heureuse. Son ex, la maman de ses enfants, sera plus ou moins présente dans sa vie donc femme jalouse s’abstenir ! S’il a 2 ou plus enfants, il ne veut peut-être plus en avoir. A toi de voir si tu partages ce choix. Si tu vis avec lui une relation à distance et qu’il est en garde alternée et très attaché à ses enfants, il ne déménagera pas dans ta ville ou ton pays. Donc tu as le choix entre déménager pour le suivre ou prendre le risque que la relation stagne ou se termine avec l’éloignement. C’est pareil dans l’autre sens. S’il t’aime et envisages une relation sérieuse avec toi mais que ses enfants ne t’acceptent pas ou ne s’entendent pas avec les tiens, l’avenir en couple est sérieusement compromis. Ce problème est moins impactant pour la relation si vos enfants respectifs sont grands et indépendants. En résumé, le papa solo est le propre miroir de la maman solo. Il a les inconvénients de ses avantages…comme la maman solo ! SORTIR AVEC UN CELIBATAIRE SANS ENFANTS Il est souvent plus jeune que le papa solo…et oui à 25 ans ou 30 ans un homme est moins souvent papa qu’à 40 ans. Alors préfères-tu les hommes jeunes ou plus mûrs ? Il a forcément un emploi du temps plus flexible qu’un papa. Si sa copine devient sa priorité, il s’organisera avec plus de facilités que le papa qui dépend aussi de son ex pour la garde de ses enfants pour la voir et s’adapter aux week-ends ou soirées libres de maman solo. Il peut ne pas comprendre ou accepter un manque de disponibilité par rapport à une célibataire sans enfants qui elle serait plus disponible, être plus en demande de rencontres, de temps passé ensemble, plus impatient pour se voir. Il y a de grandes chances qu’il veuille un enfant à court, moyen ou long terme et s’il cherche une relation sérieuse, la question de faire un enfant ensemble sera posée. Si vos plans de vie familiale ne s’accordent pas, la rupture est prévisible. ALORS PAPA SOLO OU CELIBATAIRE TOUT COURT ? Tu as peut-être un début de réponse en toi mets-le dans les commentaires en haut de l’article pour échanger dessus 🙂 mais au final tu sais bien qu’entre la théorie de ce qui devrait marcher, ce qui te convient et la pratique, il y a parfois un fossé. Et la vie nous réserve pleins de surprises auxquelles on ne s’attendait pas. J’ai un ami de 35 ans sans enfants qui m’a dit qu’il cherche à s’engager avec une jeune femme de son âge ou plus jeune sans enfants pour être à égalité »… 1 an après il est en couple et partage l’appartement de sa nouvelle copine, maman de 3 enfants… Après une période d’adaptation, il le vit très bien. Aux dernières nouvelles, ils attendent ensemble un enfant et sont très heureux. Au final ce que tu recherches, c’est celui qui correspond le mieux à tes valeurs, partage ta vision du monde, a les mêmes projets que toi, aime ton mode de vie ville, campagne, en France, à l’étranger, sur une péniche.., celui qui te rendra heureuse. Qu’importe le choix d’un papa célibataire ou pas, au fond, ce qui compte c’est qu’il soit célibataire et bien dans ses pompes. Et le plus sûr moyen de le reconnaître, c’est de mieux se connaître. Mieux se connaître pour savoir ce qu’on attend d’une relation, savoir ce qui ne nous convient plus, savoir si des valeurs et des projets futurs sont partagés. Dites-moi dans les commentaires si vous êtes en couple avec un papa célibataire ou un célibataire sans enfants. Et si vous n’êtes pas en couple, avez-vous une préférence ?
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Il n'est pas "anormal" de ne pas pouvoir aimer un ou plusieurs de ses enfants, même si c'est plus rare que de ne pas aimer ses parents. Ce qui n'est en rien une norme non plus... C'est juste possible. Et l'amour n'est en rien une obligation! c'est le même schéma!!! si tu as des enfants si on te pose la question si tu les aimes tu vas repondre "bien sûr"! alors pourquoi est ce que ce serait différent vis à vis des parents! je n'ai pas du tout la même relation à mes enfants qu'à mes parents, puisqu'elle est en "sens inverse". Pour moi l'amour n'a rien d'une évidence, et certainement pas quelque chose qui reste eternellement quoi qu'il se passe. Des fois on ressent de l'amour, d'autres fois on ne ressent plus cet amour, ca dépend de l'état de la relation à tel instant... aimer les gens ne signifie pas bien s'entendre avec eux! peut-on aimer quelqu'un avec qui on ne s'entend pas?? $😵 Perso je ne peux pas... c'est la famille! c'est la chaire de ta chaire et moi je suis la chaire de ma mère! Alors là, pour moi ca ne veut rien dire cette phrase. Aimer les gens parce qu'ils ont des genes en commun avec moi? Et alors? Il y a beaucoup de gens de ma famille qui me sont complètement indifferents, puis d'autres gens sans genes communs avec moi que j'aime pourtant beaucoup. Ce n'est pas parce qu'on est de la même famille qu'on doit s'aimer! Il y a des tas de gens qui n'aiment pas leurs frère ou soeur, ou leur grand-mère ou leur père... Ce qui maintient l'amour, c'est la relation, pas les gènes. Sans quoi on continuerait d'aimer un père qui nous abandonne, un frère incestueux, un oncle violent... j'ai eu une relation un peu fusionnelle avec elle étant enfant! j'avais bien compris mais j'ai grandi et je me suis détachée vraiment? mais ça n'empêche pas que l'amour que j'avais pour elle à l’époque est toujours présent j'ose esperer que ce n'est plus le même amour... les discordes n'empêchent pas l'amour!!! Tout à fait vrai. S'il n'y a pas que des discordes, car au bout d'un moment, l'amour s'use... Sinon, on resterait amoureux toute sa vie de son conjoint, et le mot divorce n'existerait pas en tout cas merci pour l'article ça m'a beaucoup apporté! pour ce qui est de lui poser des limites avec ma mère j'ai l'impression que ce n'est pas possible parce qu'elle ne veut pas ou ne peut pas entendre certaines choses, elle est du genre butée et têtue! Ah. Le voilà le problème!! Elle ne veut pas que tu lui poses des limites, donc elle fait un caprice si tu le fais, et toi, tu ne sais pas gerer ses caprices donc tu abdiques. Il est là tout le noeud de ton histoire! Tu sais, j'ai eu le même problème avec ma mère, très butée aussi. Mais même si elle ne veut pas entendre, elle a fini par entendre parce que moi j'ai cessé d'accepter que ce soit elle qui dicte les règles du jeu dans notre relation... Dans une relation, on est deux, et s'il y en a un qui dirige, c'est uniquement parce que l'autre l'y autorise. Du jour où l'autre n'autorise plus, la relation doit évoluer!! je n'ai pas envie de l’écarter de ma vie pour avoir la paix ou pour lui faire comprendre parce qu'elle a déjà vécue ça avec ma soeur et je sais que ça la peine énormément! ah, alors tu te sacrifies en quelques sortes, parce que ta soeur a été vilaine avec maman toi tu ne peux pas? Et si ta soeur ne l'avait pas fait, est-ce que tu aurais eu le courage d'affronter ta mère en premier? ] Je doute... Puis tu sais Mimi, on peut mettre des limites sans pour autant chasser l'autre de sa vie $😀 C'est comme dans les discussions sur le forum éducation, où tout le monde semble croire que si on n'utilise plus de fessées, ou de menaces de fessées, alors l'enfant va perdre son respect pour le parent, n'aura plus de limites et va tout décider à la maison... Quel amalgamme!! ce sont des relations très complexes je donne peut être l'impression de me complaire dans cette situation parce que incapable d'y mettre un terme mais je la plains plus qu'autre chose parce que je pense qu'elle se sent seule et qu'elle ne sait pas combler le vide de son quotidien sans ses enfants!!!! ce n'est pas une maman horrible je crois juste qu'elle souffre et je n'arrive pas à soulager son mal-être mais l'un n'empêche pas l'autre!! Qu'elle soit seule, que tu aies pitié, qu'elle souffre, c'est évident, mais ce n'est pas à toi de te sacrifier pour elle. J'étais dans le même cas avec ma mère, la comprenant trop bien et ayant peur de lui faire du mal, essayant de prendre soin d'elle, mais à la fin on se fait bouffer complètement et c'est moi qui étais en danger!! Il faut savoir ce qu'on veut, perso j'ai choisi de sauver ma peau parce que je sombrais dans la depression avec ces histoires. Eh bien figure toi que depuis que ma mère n'a plus d'emprise sur moi, elle va beaucoup mieux!! Eh oui, elle ne passe plus son temps à ne vivre que pour qu'on s'occupe d'elle, du coup elle s'occupe d'elle-même, son attention s'est tournée sur d'autres choses, elle a plein d'activités maintenant, s'occupe d'enfants en difficultés, de genealogie, aide plein de gens, et recoit de leur part la gratitude et l'attention qu'elle attendait. ce n'est pas à moi de le faire certes, mais je voudrais pouvoir vivre avec ça! Tu ne peux pas, parce que tu ne vis pas ta vie, tu as un gros boulet qui t'entraîne vers le fond et tu n'es pas libre puisque tu dois toujours penser à ta mère, ce qu'elle va penser, dire, faire... Et tu ne peux pas nager pour toi ET pour ta mère. Il faut que ta mère apprenne à nager un peu toute seule. Au moins à faire la planche... j'ai beaucoup de mal à prendre de la distance avec ses propos! Bien sûr, parce qu'elle te connait par coeur et sait comment te faire réagir, culpabiliser, pour te ramener à elle et t'obliger à faire ce qu'elle veut. Si tu as trop de mal à prendre de la distance par rapport à tout ca, je te conseillerais de voir un therapeute pour quelques seances afin de mettre à jour les mecanismes de cette relation intoxicante. . 379 15 59 18 96 518 45 285

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