ArticleL121-19 du Code de la consommation : consulter gratuitement tous les Articles du Code de la consommation. Le Code de la consommation regroupe les lois relatives au droit de la
La diffĂ©rence de notion entre le consommateur et le non-professionnel est importante car le droit de la consommation protĂšge le premier mais dans certains cas Ă©galement le deuxiĂšme. 1. Lâarticle liminaire du Code de la consommation dĂ©finit le consommateur, le non professionnel et le professionnel DĂ©finition du consommateur Le consommateur est toute personne physique qui agit Ă des fins qui nâentrent pas dans le cadre de son activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale, libĂ©rale ou agricole » article prĂ©liminaire du Code de la consommation, introduit par la loi n°2014-344 du 17 mars 2014 âLoi Hamonâ. Un consommateur est donc exclusivement une personne physique. Une personne morale ne peut en aucun cas ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un consommateur. Apparition du non professionnel La notion de non professionnel a Ă©tĂ© introduite par lâordonnance n° 2016-301 du 14 mars 2016 dĂ©fini aux termes de lâarticle liminaire du Code de la consommation comme toute personne morale qui nâagit pas Ă des fins professionnelles ». Ainsi, Ă la diffĂ©rence du consommateur, une personne morale peut bĂ©nĂ©ficier de la qualification de non-professionnel. Et seule une personne morale peut ĂȘtre qualifiĂ©e de non professionnel. DĂšs lors, sont exclues toutes les personnes physiques, les artisans, les agriculteurs ou professionnels libĂ©raux. NB Auparavant, selon la jurisprudence le non-professionnel Ă©tait dĂ©fini comme la personne physique ou morale qui conclut un contrat de fourniture de biens ou de services nâayant pas de rapport direct avec lâactivitĂ© professionnelle quâelle exerce Cass. 1e civ. 25-11-2015 n° RJDA 2/16 n° 107. Cette dĂ©finition nâest donc plus dâactualitĂ©. Attention Si tout le code de la consommation est applicable au consommateur, seules certaines dispositions le sont pour le non professionnel lorsquâelles le dĂ©signent expressĂ©ment. Le professionnel Aux termes de lâarticle liminaire du Code de la consommation, le professionnel est toute personne physique ou morale, publique ou privĂ©e, qui agit Ă des fins entrant dans le cadre de son activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale, libĂ©rale ou agricole, y compris lorsquâelle agit au nom ou pour le compte dâun autre professionnel ». Certaines dispositions du Code de la consommation peuvent ĂȘtre applicables Ă un professionnel, dans certains cas Lâarticle L221-3 du Code de la consommation Ă©nonce âLes dispositions des sections 2, 3, 6 du prĂ©sent chapitre applicables aux relations entre consommateurs et professionnels, sont Ă©tendues aux contrats conclus hors Ă©tablissement entre deux professionnels dĂšs lors que lâobjet de ces contrats nâentre pas dans le champ de lâactivitĂ© principale du professionnel sollicitĂ© et que le nombre de salariĂ©s employĂ©s par celui-ci est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă cinqâ. Dâabord, il sâagit des dispositions des sections 2,3 6 du chapitre sur les contrats Ă distance. Ensuite, lâobjet du contrat ne doit pas entrer dans le champ de lâactivitĂ© du professionnel et ce dernier doit avoir au maximum 5 salariĂ©s. Ces conditions sont cumulatives. Ainsi, le droit de rĂ©tractation peut ĂȘtre applicable Ă certains professionnels entrant dans cette catĂ©gorie. Il en est ainsi, dâun architecte qui avait sollicitĂ© une entreprise pour crĂ©er son site internet dĂ©diĂ© Ă son activitĂ© professionnelle Cass. Civ 1, 12 septembre 2018, n°17-17319. La Cour dâappel puis le Cour de cassation ont estimĂ© que la communication commerciale et la publicitĂ© via un site Internet nâentraient pas dans le champ de lâactivitĂ© principale de lâ architecte qui dĂšs lors, pouvait bĂ©nĂ©ficier du droit de rĂ©tractation prĂ©vu par lâarticle L. 121-21 du code de la consommation. 2. La jurisprudence, le consommateur et le non professionnel Quelques exemples Un syndicat de copropriĂ©taires est un non professionnel quand il nâagit pas Ă des fins professionnelles. Par exemple, le SDC bĂ©nĂ©ficie de la protection contre les reconductions tacites Cass. 1e civ. 29-3-2017, n°16-10007. Selon la Cour de cassation, une SCI, promoteur immobilier, est certes un professionnel de lâimmobilier mais pas un professionnel de la construction. La SCI doit dĂšs lors ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un non-professionnel vis-Ă -vis du contrĂŽleur technique en application de lâarticle L. 132-1 du Code de la consommation » Cass. civ. 3Ăšme, 4 fĂ©vr. 2016, n° A suivreâŠ
Refontedu Code de la consommation : publication de lâordonnance de recodification Le nouveau Code de la consommation entrera en vigueur le 1 er juillet 2016. Lâordonnance de recodification, qui vient dâĂȘtre publiĂ©e, vise Ă simplifier et amĂ©liorer la cohĂ©rence juridique des dispositions lĂ©gales, au bĂ©nĂ©fice des utilisateurs. Le droit de la consommation, depuis les premiĂšres
Une pratique commerciale est Ă©galement trompeuse si, compte tenu des limites propres au moyen de communication utilisĂ© et des circonstances qui l'entourent, elle omet, dissimule ou fournit de façon inintelligible, ambiguĂ« ou Ă contretemps une information substantielle ou lorsqu'elle n'indique pas sa vĂ©ritable intention commerciale dĂšs lors que celle-ci ne ressort pas dĂ©jĂ du le moyen de communication utilisĂ© impose des limites d'espace ou de temps, il y a lieu, pour apprĂ©cier si des informations substantielles ont Ă©tĂ© omises, de tenir compte de ces limites ainsi que de toute mesure prise par le professionnel pour mettre ces informations Ă la disposition du consommateur par d'autres toute communication commerciale constituant une invitation Ă l'achat et destinĂ©e au consommateur mentionnant le prix et les caractĂ©ristiques du bien ou du service proposĂ©, sont considĂ©rĂ©es comme substantielles les informations suivantes 1° Les caractĂ©ristiques principales du bien ou du service ; 2° L'adresse et l'identitĂ© du professionnel ; 3° Le prix toutes taxes comprises et les frais de livraison Ă la charge du consommateur, ou leur mode de calcul, s'ils ne peuvent ĂȘtre Ă©tablis Ă l'avance ; 4° Les modalitĂ©s de paiement, de livraison et d'exĂ©cution, dĂšs lors qu'elles sont diffĂ©rentes de celles habituellement pratiquĂ©es dans le domaine d'activitĂ© professionnelle concernĂ© ; 5° L'existence d'un droit de rĂ©tractation, si ce dernier est prĂ©vu par la loi ; 6° La qualitĂ© de professionnel ou non du vendeur qui propose des produits sur une place de marchĂ©, telle qu'elle a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e Ă l'opĂ©rateur de la place de marchĂ© en ligne. Lorsque le consommateur peut rechercher des produits offerts par diffĂ©rents professionnels ou par des particuliers Ă partir d'une requĂȘte consistant en un mot clĂ©, une phrase ou la saisie d'autres donnĂ©es, sont rĂ©putĂ©es substantielles les informations mises Ă sa disposition concernant les principaux paramĂštres qui dĂ©terminent le classement des produits qui lui sont prĂ©sentĂ©s et leur ordre d'importance. Ces informations doivent figurer dans une rubrique spĂ©cifique de l'interface en ligne, directement et aisĂ©ment accessible Ă partir de la page sur laquelle les rĂ©sultats de la requĂȘte sont prĂ©sentĂ©s. Lorsqu'un professionnel donne accĂšs Ă des avis de consommateurs sur des produits, les informations permettant d'Ă©tablir si et comment le professionnel garantit que les avis publiĂ©s Ă©manent de consommateurs ayant effectivement utilisĂ© ou achetĂ© le produit sont rĂ©putĂ©es Ă lâarticle 10 de lâordonnance n° 2021-1734 du 22 dĂ©cembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 28 mai 2022.
ArticleL121-16 du Code de la consommation : consulter gratuitement tous les Articles du Code de la consommation. Le Code de la consommation regroupe les lois relatives au droit de la
Au sommaire de ce dossier guide ... ART. L121-20 du code de la consommation Le consommateur dispose d'un dĂ©lai de sept jours francs pour exercer son droit de rĂ©tractation sans avoir Ă justifier de motifs ni Ă payer de pĂ©nalitĂ©s, Ă l'exception, le cas Ă©chĂ©ant, des frais de retour. Le dĂ©lai mentionnĂ© Ă l'alinĂ©a prĂ©cĂ©dent court Ă compter de la rĂ©ception pour les biens ou de l'acceptation de l'offre pour les prestations de services. Lorsque les informations prĂ©vues Ă l'article L. 121-19 n'ont pas Ă©tĂ© fournies, le dĂ©lai d'exercice du droit de rĂ©tractation est portĂ© Ă trois mois. Toutefois, lorsque la fourniture de ces informations intervient dans les trois mois Ă compter de la rĂ©ception des biens ou de l'acceptation de l'offre, elle fait courir le dĂ©lai de sept jours mentionnĂ© au premier le dĂ©lai de sept jours expire un samedi, un dimanche ou un jour fĂ©riĂ© ou chĂŽmĂ©, il est prorogĂ© jusqu'au premier jour ouvrable suivant. ART. L121-20-1 du code de la consommation Lorsque le droit de rĂ©tractation est exercĂ©, le professionnel est tenu de rembourser sans dĂ©lai le consommateur et au plus tard dans les trente jours suivant la date Ă laquelle ce droit a Ă©tĂ© exercĂ©. Au-delĂ , la somme due est, de plein droit, productive d'intĂ©rĂȘts au taux lĂ©gal en vigueur. ART. L121-20-2 du code de la consommation Le droit de rĂ©tractation ne peut ĂȘtre exercĂ©, sauf si les parties en sont convenues autrement, pour les contrats 1Âș De fourniture de services dont l'exĂ©cution a commencĂ©, avec l'accord du consommateur, avant la fin du dĂ©lai de sept jours francs ; 2Âș De fourniture de biens ou de services dont le prix est fonction de fluctuations des taux du marchĂ© financier ; 3Âș De fourniture de biens confectionnĂ©s selon les spĂ©cifications du consommateur ou nettement personnalisĂ©s ou qui, du fait de leur nature, ne peuvent ĂȘtre rĂ©expĂ©diĂ©s ou sont susceptibles de se dĂ©tĂ©riorer ou de se pĂ©rimer rapidement ; 4Âș De fourniture d'enregistrements audio ou vidĂ©o ou de logiciels informatiques lorsqu'ils ont Ă©tĂ© descellĂ©s par le consommateur ; 5Âș De fourniture de journaux, de pĂ©riodiques ou de magazines ; 6Âș De service de paris ou de loteries autorisĂ©s. ART. L121-20-3 du code de la consommation Sauf si les parties en sont convenues autrement, le fournisseur doit exĂ©cuter la commande dans le dĂ©lai de trente jours Ă compter du jour suivant celui oĂč le consommateur a transmis sa commande au fournisseur du produit ou de cas de dĂ©faut d'exĂ©cution du contrat par un fournisseur rĂ©sultant de l'indisponibilitĂ© du bien ou du service commandĂ©, le consommateur doit ĂȘtre informĂ© de cette indisponibilitĂ© et doit, le cas Ă©chĂ©ant, pouvoir ĂȘtre remboursĂ© sans dĂ©lai et au plus tard dans les trente jours du paiement des sommes qu'il a versĂ©es. Au-delĂ de ce terme, ces sommes sont productives d'intĂ©rĂȘts au taux lĂ©gal. Toutefois, si la possibilitĂ© en a Ă©tĂ© prĂ©vue prĂ©alablement Ă la conclusion du contrat ou dans le contrat, le fournisseur peut fournir un bien ou un service d'une qualitĂ© et d'un prix Ă©quivalents. Le consommateur est informĂ© de cette possibilitĂ© de maniĂšre claire et comprĂ©hensible. Les frais de retour consĂ©cutifs Ă l'exercice du droit de rĂ©tractation sont, dans ce cas, Ă la charge du fournisseur et le consommateur doit en ĂȘtre informĂ©.
ArticleL121-91 Toute offre de fourniture d'électricité ou de gaz permet, au moins une fois par an, une facturation en fonction de l'énergie consommée.
Article L121-2 abrogé Version en vigueur du 02 août 2014 au 01 juillet 2016Abrogé par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 - art. 34 VModifié par LOI n°2014-856 du 31 juillet 2014 - art. 93Les agents de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, ceux de la direction générale de l'alimentation du ministÚre de l'agriculture et ceux du service de métrologie au ministÚre de l'industrie sont habilités à constater, au moyen de procÚs-verbaux sur l'ensemble du territoire national les pratiques commerciales trompeuses. Ils peuvent exiger du responsable d'une pratique commerciale la mise à leur disposition ou la communication de tous les éléments propres à justifier les allégations, indications ou présentations inhérentes à cette pratique, y compris lorsque ces éléments sont détenus par un fabricant implanté hors du territoire national. Ils peuvent également exiger de l'annonceur, de l'agence de publicité ou du responsable du support la mise à leur disposition des messages publicitaires diffusés. Les procÚs-verbaux sur l'ensemble du territoire national dressés en application du présent article sont transmis au procureur de la République.
Larticle L121-1 du code de la consommation vise la vente de biens et de services, le cadre de la publicité est donc la vente et plus généralement les opérations à titre onéreuses.
Actions sur le document Article L120-1 Les pratiques commerciales déloyales sont interdites. Une pratique commerciale est déloyale lorsqu'elle est contraire aux exigences de la diligence professionnelle et qu'elle altÚre, ou est susceptible d'altérer de maniÚre substantielle, le comportement économique du consommateur normalement informé et raisonnablement attentif et avisé, à l'égard d'un bien ou d'un service. Le caractÚre déloyal d'une pratique commerciale visant une catégorie particuliÚre de consommateurs ou un groupe de consommateurs vulnérables en raison d'une infirmité mentale ou physique, de leur ùge ou de leur crédulité s'apprécie au regard de la capacité moyenne de discernement de la catégorie ou du groupe. en particulier, des pratiques commerciales déloyales les pratiques commerciales trompeuses définies aux articles L. 121-1 et L. 121-1-1 et les pratiques commerciales agressives définies aux articles L. 122-11 et L. 122-11-1. DerniÚre mise à jour 4/02/2012
Larti le 33-1 I n bis du Code des postes et communications Ă©lectroniques prĂ©voit ue lâopĂ©ateu doit fournir Ă ses clients professionnels qui en font la demande les mĂȘmes info mations ue elles uâil fournit aux particuliers (le CPCE renvoie Ă nouveau su e point Ă lâatile L. 121-83 du Code de la consommation).
dĂ©veloppement et la diffusion de moyens de transport Ă faibles Ă©missions de gaz Ă effet de serre et de polluants atmosphĂ©riques constituent une prioritĂ© au regard des exigences de la transition Ă©nergĂ©tique et impliquent une politique de dĂ©ploiement d'infrastructures dĂ©diĂ©es. Afin de permettre l'accĂšs du plus grand nombre aux points de charge de tous types de vĂ©hicules Ă©lectriques et hybrides rechargeables, la France se fixe comme objectif l'installation, d'ici Ă 2030, d'au moins sept millions de points de charge installĂ©s sur les places de stationnement des ensembles d'habitations, d'autres types de bĂątiments, ou sur des places de stationnement accessibles au public ou des emplacements rĂ©servĂ©s aux professionnels. Les diffĂ©rents leviers permettant le dĂ©ploiement de ces points de charge sont prĂ©vus par la stratĂ©gie pour le dĂ©veloppement de la mobilitĂ© propre, prĂ©vue Ă l'article 40 de la prĂ©sente loi. Ce dĂ©ploiement est notamment favorisĂ© en incitant les collectivitĂ©s territoriales Ă poursuivre leurs plans de dĂ©veloppement, en encourageant l'installation des points de charge dans les bĂątiments tertiaires et dans les bĂątiments d'habitation et en accompagnant les initiatives privĂ©es visant Ă la mise en place d'un rĂ©seau Ă caractĂšre national accessible, complĂ©mentaire du dĂ©ploiement assurĂ© par les collectivitĂ©s territoriales. L'utilisation mutualisĂ©e des points de charge par des vĂ©hicules Ă©lectriques et hybrides rechargeables, en particulier dans le cadre de l'auto-partage ou du covoiturage, est favorisĂ©e afin d'assurer une utilisation optimale de ces points de charge et la mise Ă disposition de vĂ©hicules Ă©lectriques Ă un nombre Ă©largi de personnes. dĂ©veloppement et la diffusion de l'usage du vĂ©lo et des mobilitĂ©s non motorisĂ©es constituent une prioritĂ© au regard des exigences de la transition Ă©nergĂ©tique et impliquent une politique de dĂ©ploiement d'infrastructures dĂ©diĂ©es. Afin de permettre le recours du plus grand nombre Ă ces mobilitĂ©s, la France se fixe un objectif de dĂ©ploiement massif, avant 2030, de voies de circulation et de places de stationnement rĂ©servĂ©es aux mobilitĂ©s non motorisĂ©es, en particulier de stationnement sĂ©curisĂ© pour les vĂ©los. Ces mobilitĂ©s sont favorisĂ©es en incitant les collectivitĂ©s territoriales Ă poursuivre la mise en Ćuvre de leurs plans de dĂ©veloppement. A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de la construction et de l'habitation. Art. L161-3 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de la construction et de l'habitation. Art. L111-5-2, Art. L111-5-4 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de l'urbanisme Art. L123-1-12 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 Art. 24 les bĂątiments industriels mentionnĂ©s au 2° du I de l'article L. 111-5-2 du code de la construction et de l'habitation, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article, le mĂȘme I s'applique aux bĂątiments pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017. II du mĂȘme article L. 111-5-2, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article, s'applique aux bĂątiments pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017. mentionnĂ©e au III dudit article L. 111-5-2, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du III du prĂ©sent article, s'applique 1° Aux bĂątiments constituant un ensemble commercial ou accueillant un Ă©tablissement de spectacles cinĂ©matographiques Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es Ă la clientĂšle pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017 ; 2° Aux ensembles d'habitations Ă©quipĂ©s de places de stationnement individuelles non couvertes ou d'accĂšs non sĂ©curisĂ©, aux bĂątiments Ă usage industriel Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es aux salariĂ©s, aux bĂątiments Ă usage tertiaire ne constituant pas principalement un lieu de travail Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es aux salariĂ©s et aux bĂątiments accueillant un service public Ă©quipĂ©s de places de stationnement destinĂ©es aux agents ou aux usagers du service public pour lesquels la demande de permis de construire est dĂ©posĂ©e aprĂšs le 1er janvier 2017.
. 427 105 498 276 11 697 721 447
l 121 1 du code de la consommation