Mangezautant que vous pouvez tolérer. Utiliser une combinaison de vapeur et de certaines huiles essentielles pour fluidifier le mucus. Vous pouvez essayer un humidificateur ou un bol fumant de l'eau. Ajouter une huile essentielle à la vapeur. Recommandé eucalyptus, de sauge, bois de cÚdre, bergamote, de la myrrhe, de fenouil
AspirĂ© lors de respiration normale par le nez, l’air purifiĂ© et prĂ©chauffĂ© afflue dans la trachĂ©e. Ici, il est d’abord grossiĂšrement filtrĂ© par des poils. De trĂšs fines particules de poussiĂšres et des bactĂ©ries restent prises dans les muqueuses humides des deux fosses nasales. Sans la purification de l’air respirĂ©, trop de poussiĂšres et d’élĂ©ments en suspension entreraient dans notre systĂšme respiratoire. Lorsque nous nous mouchons par exemple, la poussiĂšre filtrĂ©e est retirĂ©e avec le mucus des muqueuses nasales. Les fosses nasales droite et gauche qui sont sĂ©parĂ©es par une cloison comprennent chacune trois cornets superposĂ©s. Sur cette large surface bien vascularisĂ©e, l’air inhalĂ© se rĂ©chauffe comme sous l’effet d’un chauffage central. Il est Ă©galement humidifiĂ© par les muqueuses qui produisent en permanence de l’eau. Le cornet supĂ©rieur abrite l’organe de l’odorat qui contrĂŽle l’air inspirĂ©. Tous ces bĂ©nĂ©fices disparaissent lors de respiration par la bouche. La muqueuse est constituĂ©e de cellules cylindriques qui portent de minuscules cils mobiles et des cellules dites caliciformes qui produisent du mucus. Le mucus produit par les muqueuses ne doit ĂȘtre ni trop liquide ni trop solide. Comme le montre le film ces mucositĂ©s s’étalent comme un film sur la muqueuse et les minuscules cils des voies respiratoires. Les mucositĂ©s servent au filtrage et en mĂȘme temps Ă  l'absorption de la poussiĂšre fine. Les mucositĂ©s contenant les poussiĂšres fines sont transportĂ©es de façon continue en direction du larynx. Les gaz nuisibles de l'environnement comme par exemple l'ozone sont aussi dissous dans les mucositĂ©s et ainsi en partie neutralisĂ©s. Cette fonction importante est illustrĂ©e dans le film. Le larynx est l’entrĂ©e de la trachĂ©e. Il se compose de plusieurs cartilages. Les cartilages thyroĂŻde et cricoĂŻde forment ses parois. Un mouvement musculaire permet de faire pivoter le cartilage arytĂ©noĂŻde Ă  l’intĂ©rieur. Ce qui tend ou relĂąche deux replis cutanĂ©s, nos deux cordes vocales. L’air affluant par la glotte peut faire vibrer les cordes vocales. Cette vibration se rĂ©percute sur l’air dans le larynx, la gorge et la cavitĂ© buccale. C’est ainsi qu’est produite notre voix. Celle-ci a Ă©tĂ© un vĂ©hicule dĂ©cisif pour le dĂ©veloppement du langage. Le langage a Ă  son tour donnĂ© naissance Ă  l’écriture, la base de toute notre civilisation. Nous voyons ici aussi combien la respiration influe sur notre trachĂ©e est le conduit menant du larynx aux bronches. Elle mesure 10 Ă  12 cm de longueur parfois 15 cm et est recouverte d’un Ă©pithĂ©lium riche en glandes muqueuses, comme expliquĂ© plus loin. Du nez jusqu’aux bronches, la trachĂ©e est revĂȘtue d’une muqueuse. Cet organe permet aux voies aĂ©riennes de largementse purifier d’elles-mĂȘmes. C’est ici que les grosses poussiĂšres de plus de 10 micromĂštres sont filtrĂ©es dans les bronches supĂ©rieures. Les bronches sont constituĂ©es de plusieurs couches. Les boucles cartilagineuses externes confĂšrent la stabilitĂ© requise aux larges voies aĂ©riennes telles que la trachĂ©e. Elle est maintenue ouverte sur sa longueur d’env. 12 cm par quelque 20 boucles cartilagineuses en forme de fer Ă  cheval, comme l’illustre ce film. La trachĂ©e est revĂȘtue Ă  l’intĂ©rieur d’une fine muqueuse. Les cellules de la muqueuse portent de minuscules cils et battent en permanence en direction de la gorge, de maniĂšre comparable Ă  un champ de blĂ© exposĂ© au vent. Ainsi, avec le mucus secrĂ©tĂ©, elles Ă©vacuent de petites impuretĂ©s vers l’extĂ©rieur. Car la poussiĂšre qui a pĂ©nĂ©trĂ© jusque dans les alvĂ©oles pulmonaires reste dans le poumon et peut y provoquer des la cavitĂ© thoracique, Ă  gauche et Ă  droite, se trouvent, bien protĂ©gĂ©s, les deux poumons; ils sont sĂ©parĂ©s par le cƓur et les organes du mĂ©diastin. Les poumons sont des organes souples, spongieux et extensibles, de forme conique. La face externe jouxte la paroi thoracique, la face interne le mĂ©diastin, la base repose sur le diaphragme et le sommet se trouve Ă  hauteur de la premiĂšre cĂŽte. Les poumons sont divisĂ©s en lobes par des sillons. Le poumon gauche est divisĂ© par un sillon, le poumon droit par deux sillons profonds. Les poumons mesurent environ 26 cm de hauteur et 15 cm de diamĂštre. Leur volume s’élĂšve Ă  1600 cm3, le poumon droit Ă©tant plus gros que le gauche. Chaque poumon est isolĂ© hermĂ©tiquement de l’extĂ©rieur par une enveloppe Ă  double feuillet. Un feuillet viscĂ©ral entoure les poumons et un feuillet pariĂ©tal recouvre la paroi interne de la cage thoracique. Ces deux feuillets sont appelĂ©s plĂšvre. Entre le feuillet viscĂ©ral interne et le feuillet pariĂ©tal externe se trouve l’espace pleural il est vide d’air et contient un liquide aqueux. La pression nĂ©gative vide assure le dĂ©ploiement des poumons. Ainsi, ces deux membranes peuvent se dĂ©placer l’une contre l’autre, telles deux lames de verre mouillĂ©es, sans d’éloigner l’une de l’autre. Lors de la respiration, cela facilite le glissement presque sans heurt du poumon contre les parois de la cavitĂ© thoracique. L’entrĂ©e d’air dans l’espace pleural aurait de graves consĂ©quences, car la pression ne serait plus nĂ©gative et le poumon pourrait s’affaisser de par sa propre Ă©lasticitĂ©. La trachĂ©e se divise en deux branches, les deux bronches souches, qui pĂ©nĂštrent chacune dans un poumon au niveau du hile. A hauteur de la 4e vertĂšbre thoracique, Ă  partir de la trachĂ©e, une bronche se divise 22 fois en tout avant d’arriver aux alvĂ©oles pulmonaires. Telles les racines d’un arbre, les bronches deviennent de plus en plus fines aprĂšs chaque subdivision et, une fois arrivĂ©es aux alvĂ©oles, n’ont plus que l’épaisseur d’un le poumon, les bronches se ramifient en un systĂšme de canaux toujours plus fin. Ces bronches plus fines sont appelĂ©es bronchioles. Elles se terminent en alvĂ©oles pulmonaires. Les problĂšmes affectant les bronchioles ont des consĂ©quences nĂ©fastes sur la respiration. Des voies respiratoires rĂ©trĂ©cies obstruĂ©es peuvent ainsi entraĂźner une gĂȘne respiratoire. Ces rĂ©trĂ©cissements pathologiques obstructions apparaissent en cas d’asthme bronchique du fait de gonflements et de plissements des muqueuses, d’un spasme des muscles orbiculaires entourant les bronches ou d’une surproduction de mucus due Ă  des allergies dĂ©clenchĂ©es p. ex. par des pollens ou des poils d’animaux. Le poumon ressemble Ă  un arbre. Le tronc la trachĂ©e se divise en branches, qu’on appelle les bronches. Les branches plus fines correspondent aux bronchioles, sur lesquelles sont attachĂ©es les alvĂ©oles comme des feuilles. C’est lĂ  qu’a lieu l'Ă©change d’air, comme on peut le voir dans cet extrait de film. Les deux poumons contiennent ensemble environ 300 millions de telles bulles d'environ millimĂštres de diamĂštre, d’une surface totale d'environ 100 mĂštres carrĂ©s, soit 50 fois la surface de la peau. Les alvĂ©oles sont entourĂ©s d'un rĂ©seau des vaisseaux sanguins fins, le rĂ©seau capillaire. A travers cette membrane extrĂȘmement fine, l'oxygĂšne de l’air inspirĂ© parvient dans le sang et dans une direction inverse le dioxyde de carbone quitte le sang pour l'air des alvĂ©oles pulmonaires. Ce processus s'appelle la Par des mouvements respiratoires, nous remplissons nos poumons d’air que nous rejetons ensuite. De cette maniĂšre, nous expirons le gaz carbonique produit et inspirons de nouveau de l’oxygĂšne frais. Lors de l’inspiration, les muscles intercostaux externes se contractent et soulĂšvent les cĂŽtes. Le diaphragme se tend simultanĂ©ment. Ces deux mouvements augmentent le volume de la cavitĂ© thoracique. Le feuillet qui constitue la paroi externe de l’enveloppe Ă  double feuillet suit les mouvements des cĂŽtes parce qu’il y adhĂšre. Comme l’espace plĂšvre compris entre le feuillet tapissant les cĂŽtes et celui recouvrant les poumons est impermĂ©able Ă  l’air, le feuillet recouvrant les poumons est aspirĂ©. Le poumon est ainsi dĂ©ployĂ© passivement. Les alvĂ©oles pulmonaires augmentent de volume et l’air afflue par la trachĂ©e et les bronches. Dans tout ce processus de respiration, il est remarquable que le poumon mĂȘme n’ait absolument aucun muscle. GrĂące Ă  des assistants», Ă  savoir des muscles qui lui sont Ă©trangers, il bĂ©nĂ©ficie d’une assistance respiratoire molĂ©culaire. Expiration Lors de l’expiration, les muscles intercostaux externes et le diaphragme se relĂąchent. La cage thoracique s’affaisse et le diaphragme se voĂ»te Ă  nouveau vers le haut. Lorsque la cavitĂ© thoracique diminue de volume, l’air est exprimĂ© hors du poumon. AprĂšs cette premiĂšre Ă©tape de l’expiration, les muscles intercostaux internes et les muscles abdominaux peuvent repousser les cĂŽtes encore plus vers le bas et accentuer la voĂ»te du diaphragme. De cette façon, une plus grande quantitĂ© d’air est expirĂ©e. En principe, l’expiration se fait spontanĂ©ment du fait de la force rĂ©tractive des tissus tendus. Echange gazeux Le sang pauvre en oxygĂšne et riche en gaz carbonique vient du ventricule droit du cƓur jusqu’aux capillaires et est Ă©changĂ© dans les alvĂ©oles pulmonaires contre du sang riche en oxygĂšne. Celui-ci alimente alors le corps via le ventricule gauche. Le sang veineux rouge foncĂ© qui vient du corps a rejetĂ© du gaz carbonique dans l’air inspirĂ©. SimultanĂ©ment, de l’oxygĂšne provenant de l'air inhalĂ© a enrichi le sang artĂ©riel devenu de ce fait rouge vif. Il afflue des poumons dans le cƓur et est pompĂ© par ce dernier dans la grande d’air requise par heure en litres La profondeur et le nombre d’inspirations par minute dĂ©pendent du besoin individuel en oxygĂšne du corps. Les activitĂ©s Ă©prouvantes nĂ©cessitent une plus grande quantitĂ© d’oxygĂšne, car les cellules musculaires ne peuvent travailler sans apport d’oxygĂšne frais. La quantitĂ© d’air requise peut de ce fait fortement varier. Ainsi n’avons-nous besoin par exemple que d’env. 4,7 litres d’air par minute lorsque nous dormons. Mais nous avons besoin d’environ 12 fois plus pour une marche rapide, Ă  savoir env. 60 litres d’air par 280Position allongĂ©e 400Position debout 450Marche1000Cyclisme 1400Natation 2600Alpinisme 3100aviron3600 Die durchschnittliche Zahl der AtemzĂŒge pro Minute ist vom Alter abhĂ€ngigLe nombre moyen d’inspirations par minute dĂ©pend de l’ñge Nouveau-nĂ© 40 Respirations par minute15 Ă  20 ans 20 Respirations par minute30 ans et plus 16 Respirations par minuteLes poumons inhalent en moyenne 300 millions de litres d’air au cours d’une vie. Nous aspirons chaque jour en moyenne 12 000 litres d’air, composĂ© de prĂ©cisĂ©ment d’oxygĂšne, de d’azote, de de gaz carbonique et d’une sĂ©rie d’autres gaz gaz rares. Cela signifie que nous absorbons quotidiennement 2 500 litres d’oxygĂšne. L’air inspirĂ© contient quasiment 21% d’oxygĂšne. L’air expirĂ© n’en contient plus que 17%. En revanche, la teneur en gaz carbonique augmente de 0,04% Ă  4%. Cela s’explique par le fait que le corps brĂ»le de l’oxygĂšne dans les muscles et rejette du gaz carbonique. La rĂ©partition de l’oxygĂšne absorbĂ© est assurĂ©e par le sang. Le transfert de l’oxygĂšne se produit dans les alvĂ©oles le cas d’une respiration normale, environ 0,5 litre d’air est inspirĂ© puis expirĂ©. Si l’on inspire particuliĂšrement profondĂ©ment et expire au maximum, cette quantitĂ© d’air peut s’élever Ă  environ 2 litres air complĂ©mentaire. Ce volume maximal de respiration est appelĂ© la capacitĂ© vitale du poumon. MĂȘme aprĂšs une expiration maximale, 1 Ă  1,5 litre d’air reste encore dans les poumons. Si l’on ajoute cette valeur Ă  la capacitĂ© vitale, on obtient la capacitĂ© totale, qui est d’env. Ă  4 litres.
Pournourrir un chiot ou un chaton orphelin il est vital de sur-protĂ©iner et sur-graisser le lait de vache. Un bon truc consiste Ă  mĂ©langer un Ɠuf cru entier et une petite boĂźte de lait gloria, ou 6 Ɠufs dans un litre de lait de vache (formules de Pons). Le lait de lapine contient 12 % de protĂ©ines,13 % de graisse et seulement 2 % de

Voici ci-dessous la liste de A Ă  Z, des plantes mĂ©dicinales les plus utilisĂ©es par nos grand-mĂšres pour leurs actions thĂ©rapeutiques, vous trouverez beaucoup d’informations sur ses plantes pour confectionner vos prĂ©parations. Utilisez les bienfaits des plantes pour vos remĂšdes ‱ B ‱ C ‱ D ‱ E ‱ F ‱ G ‱ H ‱ I ‱ J ‱ K ‱ L ‱ M ‱ N ‱ O ‱ P ‱ Q ‱ R ‱ S ‱ T ‱ U ‱ V ‱ W ‱ X ‱ Y ‱ ZAAbsintheAche des maraisAchillĂ©e millefeuillesAconitAcoreAigremoineAlkĂ©kengeAmandierAngĂ©liqueAnisArgentineArmoiseArnicaArrocheAubĂ©pineAunĂ©eAvoineBBarbarĂ©eBardaneBelladoneBenoĂźteBĂ©toineBleuetBouillon-blancBourracheBryoneCCaille-lait blancCamomille romaineCanne de ProvenceCapillaireCarotteCarviCentaurĂ©eCerfeuilChĂ©lidoineChĂȘne pĂ©donculĂ©ChĂšvrefeuilleChicorĂ©eChiendentColchiqueConsoudeCoquelicotCresson de FontaineCynoglosseDDigitaleDouce-amĂšreEEpine-vinetteEpurgeErysimumEucalyptusFFĂ©nugrecFiguierFougĂšre mĂąleFraisierFrĂȘneFumeterreGGaranceGarouGenĂȘt Ă  balaisGenĂ©vrierGentianeGermandrĂ©eGlobulaireGouetGrande ciguĂ«GrĂ©milGrenadierGuimauveHHoublonHysopeJJusquiameLLierre terrestreMMaĂŻsMarrubeMauveMĂ©lilotMĂ©lisseMenthe poivrĂ©eMĂ©nyantheMercurialeMillepertuisMorelleMuguetMĂ»rier noirMyrtilleNNarcisseNĂ©nuphar blancNerprunNoyerOOriganOrtie blanchePPariĂ©tairePatiencePavotPensĂ©e sauvagePervenchePetit houxPin sylvestrePlantainPulmonaireRRaifortRhodioleRonceRueSSafranSaponaireSaugeSerpoletSureauTTabacTanaisieTussilageUUva-UrsiVVerveineViolettePropriĂ©tĂ©s des plantesLes plantes jouissent de propriĂ©tĂ©s mĂ©dicinales qui peuvent varier dans le mĂȘme vĂ©gĂ©tal, suivant qu’on emploie la racine, la tige, les feuilles, les fleurs, les fruits. C’est pour cela que dans les remĂšdes de ce site, nous indiquons soigneusement la partie du vĂ©gĂ©tal Ă  employer. L’époque de la rĂ©colte, l’ñge de la plante ont aussi leur influence. Certains principes apparaissent ou disparaissent suivant l’ñge du nature du terrain, le climat on aussi leur rĂ©percussion sur l’activitĂ© du vĂ©gĂ©tal. L’aconit par exemple, considĂ©rĂ©e avec raison en France comme trĂšs toxique, est une plante alimentaire en SuĂšde, du moins pendant sa et conservation des plantes mĂ©dicinalesL’époque et le lieu de la rĂ©colte des plantes ont une trĂšs grande influence sur leur action ne faut rĂ©colter la plante entiĂšre et ses diverses parties que lorsqu’elles sont dans leur plus grand Ă©tat de vigueur. La plante perd une partie de ses propriĂ©tĂ©s lorsqu’on la rĂ©colte dans le sol qui lui convient racines doivent ĂȘtre rĂ©coltĂ©es au printemps, lorsque les feuilles commencent Ă  pousser et Ă  l’automne aprĂšs la chute totale des feuilles. Les racines des plantes vivaces ne doivent ĂȘtre rĂ©coltĂ©es qu’aprĂšs plusieurs annĂ©es de bourgeons doivent ĂȘtre rĂ©coltĂ©s avant que les jeunes feuilles soient doit rĂ©colter les feuilles lorsqu’elles ont acquis leur plus grande vigueur, c’est-Ă -dire au moment oĂč les fleurs vont apparaĂźtre. On les cueille par un temps sec, aprĂšs le lever du soleil, aprĂšs que la rosĂ©e se soit convient de les rĂ©colter pour la plupart avant leur entier Ă©panouissement. C’est Ă  ce moment que leurs qualitĂ©s sont portĂ©es au plus haut degrĂ©. cependant, quelques fleurs se cueillent aprĂšs leur entier Ă©panouissement, telles sont les violettes et les pensĂ©es. Pour les plantes de la famille des labiĂ©es, on rĂ©colte les sommitĂ©s fleuries ainsi que pour l’absinthe, la centaurĂ©e, l’hysope, la fumeterre, le caille-lait, on rĂ©colte les sommitĂ©s de la Ă©corces rĂ©sineuses sont rĂ©coltĂ©es au printemps au moment oĂč commence la vĂ©gĂ©tation les autres le sont Ă  l’ fruits sont secs ou charnus. Les premiers sont rĂ©coltĂ©s lorsque la graine a acquis tout son dĂ©veloppement, mais avant la dessication complĂšte. Les fruits charnus sont cueillis auss Ă  la maturitĂ© sont rĂ©coltĂ©es Ă  maturitĂ© de la rĂ©colteJANVIERLe mois pour rĂ©colter les Fleurs de mois pour rĂ©colter les fleurs d’orties blanchesJUINLe mois pour rĂ©colter les feuilles et sommitĂ©s fleuries d’ache, angĂ©lique, armoise, bardane, belladone, bĂ©toine, bourrache, caille-lait, chicorĂ©e, digitale, Ă©purge, Ă©rysimum, fumeterre, germandrĂ©e, guimauve, jusquiame, marrube, pariĂ©taire, pavot, pissenlit, plantain, ronce, saponaire, d’arnica, coquelicot, camomille, genĂȘt, nĂ©nuphar, pied-de-chat, sureau, de fraises, petites mois pour rĂ©colter les feuilles et sommitĂ©s fleuries d’aigremoine, centaurĂ©e, chĂ©lidoine, hysope, marjolaine, mauve, mĂ©lisse, mĂ©lilot, menthe, millefeuille, millepertuis, origan, rue, sauge, serpolet, tanaisie, de bleuet, bourrache, chĂšvrefeuille, lavande, mauve, ortie mois pour rĂ©colter les feuilles et sommitĂ©s fleuries de belladone, menyanthe, morelle, noyer, rue, de bouillon blanc, de guimauve, et graines d’angĂ©lique, anis, coriandre, ciguĂȘ, noix pour le brou.SEPTEMBRELe mois pour rĂ©colter les Racines d’angĂ©lique, acore, canne, chĂ©lidoine, chicorĂ©e, chiendent, fenouil et autres ombellifĂšres, douce-amĂšre, fougĂšre, guimauve, nĂ©nuphar, patience, raifort, tussilage, rĂ©colte d’automne des racines est prĂ©fĂ©rable Ă  celle du de de l’airelle, Ă©pine-vinette, nerprun, mois pour rĂ©colter les Bulbes de lis, de narcisse et les Ă©corces en et conservationLa dessication s’opĂšre Ă  l’abri du soleil. Soit Ă  l’air libre, soit dans un grenier exposĂ© au sud de prĂ©fĂ©rence. Les plantes sont Ă©talĂ©es en couches minces sur des claies et on les retourne frĂ©quemment jusqu’à dessication plantes Ă  sommitĂ©s fleuries sont attachĂ©es en paquets et suspendues en les racines, on opĂšre diffĂ©remment suivant qu’elles sont minces ou charnues. Pour les premiĂšres, aprĂšs les avoir dĂ©barrassĂ©es de la terre adhĂ©rente au chevelu par un lavage, on coupe ce chevelu et on fait sĂ©cher la racine sur la aux racines charnues, aprĂšs les avoir dĂ©barrassĂ©es de la terre et du chevelu, on les tend longitudinalement, puis on les tronçonne avant de les faire sĂ©cher. On achĂšve souvent la dessication dans un four de racines, feuilles, fleurs sĂ©chĂ©es, doivent ĂȘtre renfermĂ©es dans des vases bien clos, inaccessibles Ă  l’air, la lumiĂšre, l’humiditĂ©, la poussiĂšre
Les plantes qui reprennent de l’humiditĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© sĂ©chĂ©es, perdent toutes leurs propriĂ©tĂ©s.

doncil lui a donné comme traitement 5 jours de cortisone (il m'a bien expliqué que c'était à utiliser à petites doses et que les effets secondaires sont trop mauvais pour
Les affections parasitaires chez le chat sont trĂšs frĂ©quentes, et notamment les infestations par les vers. Les vers digestifs sont bien Ă©videmment les plus frĂ©quents et sont pris en charge, le plus souvent, par un vermifuge traditionnel ». Des explications plus prĂ©cises seront faites dans cet article. Il convient nĂ©anmoins de ne pas oublier de 3 Ă©lĂ©ments Tous les vers ne sont pas identiques et tous ne sont pas Ă©liminĂ©s par les vermifuges utilisĂ©s le plus couramment Il n’y a pas que des vers intestinaux ou digestifs on peut en rencontrer dans d’autres organes poumons, vessie, Ɠil, 
 Certaines de ces infestations parasitaires sont des zoonoses, c’est Ă  dire que l’homme peut ĂȘtre Ă©galement atteint. Les vers digestifs VariĂ©tĂ© des vers digestifs Parmi les principaux vers digestifs au sens strict du terme, appelĂ©s scientifiquement helminthes, il existe trois catĂ©gories les vers ronds ou nĂ©matodes dont les principaux sont les ascaris et les ankylostomes ; les vers plats ou cestodes dont les principaux sont les taenias Taenia au sens strict et taenia transmis par la puce, le Dipylidium et les Ă©chinocoques ; les trĂ©matodes dont on ne parlera pas car quasi inexistant chez le chat Les ascaris sont des vers longs, d’environ 10-15 cm de long, blanchĂątres, pouvant ressembler Ă  des spaghetti ». Ils sont extrĂȘmement frĂ©quents chez le chat. Leur cycle de reproduction se fait en grande partie dans l’organisme du chat et il existe une migration digestive et pulmonaire des symptĂŽmes digestifs et parfois respiratoires toux sont donc observĂ©s. Il s’agit d’une zoonose. Les ankylostomes sont des vers blancs rosĂ©s, de moins de 1 cm, pas toujours visibles, pouvant ĂȘtre Ă  l’origine de diarrhĂ©e avec du sang en nature dans les selles. Il s’agit Ă©galement d’une zoonose. Le Dipylidium se manifeste essentiellement par la prĂ©sence de petits Ă©lĂ©ments blancs aux berges de l’anus ou dans les selles, ressemblant Ă  des petits grains de riz de quelques millimĂštres. Il s’agit en rĂ©alitĂ© de petits segments du ver adulte ce dernier pouvant mesurer jusqu’à 60-80cm et se trouvant dans l’intestin du chat qui sont Ă©liminĂ©s dans les selles. Ces derniers sont ingĂ©rĂ©s par des larves de puces, qui Ă©volueront en puces adultes, et c’est l’ingestion de la puce adulte par un chat qui le contaminera. La mise en Ă©vidence de ces grains de riz » dans les selles d’un chat signifie donc 2 choses que cet animal a des vers ET des puces. Les Ă©chinocoques sont des parasites rares chez le chat et de faible gravitĂ© pour sa santĂ© ; l’un d’eux, Echinococcus multilocularis, reprĂ©sente cependant une zoonose grave chez l’homme, l’échinococcose alvĂ©olaire entraĂźnant des lĂ©sions gravissimes au niveau du foie chez l’individu atteint pouvant nĂ©cessiter une greffe du foie. Chez l’homme, la contamination se fait par l’ingestion de baies ou lĂ©gumes contaminĂ©es par des selles de renard ou de rongeurs porteurs du parasite. En plus de ces helminthes digestifs, il est possible de rencontrer d’autres parasites non helminthes dans le tube digestif du chat, appelĂ©s des protozoaires les coccidioses ou isosporose ; la giardiose ; la trichomonose. Il s’agit de parasites non visibles Ă  l’Ɠil nus. Ils doivent ĂȘtre recherchĂ©s spĂ©cifiquement par votre vĂ©tĂ©rinaire ou par l’intermĂ©diaire d’un laboratoire. Les chatons et les animaux en collectivitĂ©s sont plus rĂ©guliĂšrement parasitĂ©s. Cela est dĂ» Ă  plusieurs Ă©lĂ©ments certains parasites se multiplient en utilisant la reproduction du chat les ascaris par exemple sont transmis aux chatons par le placenta et le lait ; en collectivitĂ©, la pression parasitaire » est plus importante par rapport Ă  un animal qui vit seul, sans ĂȘtre en contact avec d’autres animaux ; certains parasites sont trĂšs rĂ©sistants dans l’environnement ; les individus dont le systĂšme immunitaire n’est pas encore compĂ©tent chaton ou dĂ©primĂ© chat malade, atteinte de leucose, 
 luttent plus difficilement contre une infestation parasitaire. Contamination des vers digestifs La contamination se fait la plupart du temps par contact oro-fĂ©cal, c’est Ă  dire que le chat ingĂšre un ver ou son Ɠuf, situĂ©s dans l’environnement nourriture, eau, sol contaminĂ©s par des selles de chat parasitĂ© et ayant rĂ©sistĂ© aux nettoyages. Pour les ascaris, une partie de la contamination, se fait par le placenta et le lait maternel d’une mĂšre parasitĂ©e. Pour le dipylidium, l’infestation se fait par ingestion par le chat d’une puce, lors de son toilettage c’est la puce qui est premiĂšre porteuse » du ver. SymptĂŽmes des vers digestifs Les chats parasitĂ©s par les helminthes et les protozoaires peuvent prĂ©senter les symptĂŽmes suivants Troubles digestifs de type vomissements ou diarrhĂ©es chroniques Sang dans les selles Amaigrissement ou troubles de la croissance Poils piquĂ©s et ternes Fatigue, abattement, anĂ©mie Signe du traĂźneau » chat qui se frotte l’arriĂšre train au sol surtout avec les taenia Toux lors de l’ascaridiose Diagnostic Le diagnostic se fait soit par visualisation des parasites dans les selles soit par l’intermĂ©diaire d’un examen coproscopique par votre vĂ©tĂ©rinaire. Dans ce dernier cas, votre vĂ©tĂ©rinaire aura plusieurs possibilitĂ©s examiner directement les selles de votre animal au microscope ; envoyer les selles dans un laboratoire vĂ©tĂ©rinaire spĂ©cialisĂ© afin de rĂ©aliser des recherches plus spĂ©cifiques. L’excrĂ©tion des parasites dans les selles n’est pas permanente elle est intermittent et ceci rend parfois le diagnostic plus compliquĂ©. Il est possible que votre vĂ©tĂ©rinaire rĂ©alise des examens de selles rĂ©pĂ©tĂ©s ou vous demande de lui ramener des selles sur 3 jours consĂ©cutifs pour avoir le maximum de chance de mettre en Ă©vidence un parasite. Traitement des vers digestifs La prise en charge thĂ©rapeutique dĂ©pend du parasite qui a Ă©tĂ© mis en Ă©vidence. Tous les vermifuges ne sont pas Ă©quivalents et ne prennent pas en charges les vers de la mĂȘme façon. Donc, le fait d’avoir vermifuger votre animal qui continue d’avoir de la diarrhĂ©e alors que vous avez utilisez un vermifuge classique ne permet pas d’écarter Ă  100% une infestation parasitaire ! Votre vĂ©tĂ©rinaire pourra vous proposer un type de vermifuge adaptĂ© – dont l’efficacitĂ© a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e- , une dose adaptĂ©e, une frĂ©quence adaptĂ©e au parasite Ă  traiter et au mode de vie de votre animal seul ou avec d’autres chien, exposition plus ou moins importante –agility, chasse, vivant avec des enfants, 
-. Le traitement de l’environnement pourra ĂȘtre nĂ©cessaire dans certains cas, lorsque des rĂ©-infestations sont mises en Ă©vidences ou lors de parasites rĂ©sistants dans l’environnement. Parfois le traitement peut ne pas se limiter aux vermifuges traitement anti-puces, pansements digestifs, 
 pourront Ă©galement vous ĂȘtre proposĂ©s. Il est important d’éviter l’automĂ©dication et cela pour plusieurs raisons vous pouvez utiliser un vermifuge non adaptĂ© au parasite ; vous pouvez utiliser un vermifuge non adaptĂ© Ă  l’ñge de votre chat des vermifuges dits paralytiques sont utilisĂ©s chez les chatons fortement parasitĂ©s pour Ă©viter certains chocs mĂ©dicaux ; vous pouvez utiliser un produit n’ayant pas dĂ©montrĂ© d’efficacitĂ© ; vous pouvez utiliser un produit non adaptĂ© Ă  l’état de votre animal en gestation ? en lactation ? dĂ©jĂ  sous traitement ? Les vers cardio-respiratoires La Dirofilariose La dirofilariose est due Ă  un ver vivant dans le cƓur et dans les artĂšres pulmonaires vaisseaux allant du cƓur au poumons. La contamination se fait par piqĂ»res de moustiques de nombreuses espĂšces de moustiques peuvent transmettre le vers dont le moustique tigre. Il est donc important de tenir compte des Ă©ventuels voyages de l’animal dans sa vie Sud-Est de la France, Antilles, Guyane, RĂ©union, Afrique du nord, Sud de l’Europe Les symptĂŽmes se dĂ©clenchent le plus souvent plusieurs mois voire annĂ©es aprĂšs la contamination difficultĂ© respiratoire, toux, crise asthmatique, saignement pulmonaires syncope ƓdĂšmes des membres mort brutale parfois Parfois aucun symptĂŽme n’est visible si la quantitĂ© de parasite est faible. Le diagnostic se fait par recherche de vers au niveau de la cavitĂ© cardiaque par une Ă©chocardiographie et par la recherche de vers dans le sang plusieurs tests existent et votre vĂ©tĂ©rinaire vous orientera vers le test le plus adaptĂ©. Il est important de prendre en considĂ©ration que les tests mis Ă  disposition Ă  ce jour ne sont pas fiables Ă  100% comme cela peut l’ĂȘtre avec la maladie de Lyme chez l’homme par exemple un test positif confirme que le chat est porteur du vers mais un test nĂ©gatif n’écarte pas formellement la maladie. Les tests peuvent donc ĂȘtre parfois rĂ©pĂ©tĂ©s. Le traitement ne se fera que sur les larves du ver et non sur les adultes. En effet, vouloir dĂ©truire les vers adultes prĂ©sents chez un chat peut engendrer sa mort. Un vĂ©tĂ©rinaire lui prescrira donc un traitement de soutien de la fonction cardiaque pour Ă©viter des complications de thrombus notamment et prendre en charge l’insuffisance cardiaque si nĂ©cessaire un traitement larvicide pour tuer les larves un traitement prĂ©ventif L’Aelurostrongylose Il s’agit d’un ver se trouvant au niveau des poumons de votre chat et Ă  l’origine d’une toux chronique et parfois d’une dĂ©tresse respiratoire marquĂ©e. La contamination se fait par une ingestion d’escargots et de limaces porteurs du parasite. Le diagnostic s’appuie sur les signes cliniques, sur la mise en Ă©vidence d’anomalies radiographiques au niveau pulmonaire et sur la mise en Ă©vidence des larves du parasite dans les selles ou dans les poumons. Le traitement associera un vermifuge adaptĂ© Ă  des mĂ©dicaments de soutien de la fonction respiratoire corticoĂŻdes, bronchodilatateurs, 
 La ThĂ©laziose oculaire Il s’agit d’une maladie due Ă  un nĂ©matode, frĂ©quent en collectivitĂ©, qui se localise sur la cornĂ©e partie luisante, la plus externe de l’Ɠil et dans les culs de sacs conjonctivaux de votre chat. Il est petit moins de 1 cm, blanc et visible Ă  l’Ɠil nu. Ce parasite est transmis par les mouches. On le rencontre essentiellement dans le sud-ouest de la France et particuliĂšrement en Dordogne. Les symptĂŽmes sont ceux d’une conjonctivite avec larmoiement, rougeur oculaire et Ɠil souvent fermĂ©. Le traitement consiste Ă  retirer le ver Ă  la pince et Ă  vermifuger votre chat. Capillaria plica Il s’agit d’un parasite rare se localisant dans les voies urinaires vessie surtout, mais aussi uretĂšres et reins Ă  l’origine de symptĂŽmes de cystite. Le diagnostic se fait par visualisation des Ɠufs du parasite dans les urines. En conclusion Il est important de tenir compte de l’exposition du chat aux infestations parasitaires diverses. Quelques points importants sont Ă  retenir il n’existe pas que des vers » digestifs certains parasites digestifs ne sont pas Ă©liminĂ©s avec les vermifuges traditionnels des examens de selles, par l’intermĂ©diaire de laboratoires vĂ©tĂ©rinaires spĂ©cialisĂ©s sont parfois nĂ©cessaires pour Ă©tablir un diagnostic l’excrĂ©tion Ă©tant intermittente, les examens peuvent nĂ©cessiter d’ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©s certains maladies sont des zoonoses et un traitement prĂ©ventif humain notamment des enfants peut ĂȘtre nĂ©cessaire le protocole de vermifugation doit ĂȘtre adaptĂ© Ă  la situation de vie de l’animal
chaton lait dans les poumons que faire
Bonjour Alors voilà, j'habite en maison chez mes parents et il y a quelques jours la chatte de mes voisins a abandonné
Un chaton abandonnĂ© Ă  quelques jours ou quelques semaines de vie seulement, ce genre de situation peut survenir malheureusement au coin de votre rue ou juste derriĂšre votre maison. Vous avez dĂ©cidĂ© de sauver ce chaton. Il a peut-ĂȘtre encore les yeux fermĂ©s mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour lui donner une chance de survie. A ce point de vulnĂ©rabilitĂ©, la santĂ© du chaton abandonnĂ© dĂ©pend entiĂšrement de votre attitude, votre aptitude Ă  rĂ©pondre aux besoins urgents et vitaux, votre vigilance au moindre symptĂŽme. Chaleur, besoins naturels, lait, 
 Une course contre la montre pour sauver ce chaton abandonnĂ© Et si on le sauvait ce chaton abandonnĂ© ? Ah oui ! C’est dĂ©cidĂ©, sauvons-le en observant ces quelques points synthĂ©tisĂ©s dans cet article de Ces informations ont Ă©tĂ© recensĂ©es en grande partie dans le forum de auquel je dĂ©die cet article tant les histoires de sauvetage et de dĂ©vouement m’ont touchĂ©. Je vous prĂ©sente en images dans cette vidĂ©o la mĂ©thode complĂšte. Regardez cette vidĂ©o avec sous titres sur la chaĂźne Youtube en cliquant sur cette image ci-dessous. Conduite gĂ©nĂ©rale Ă  suivre pour sauver votre chaton abandonnĂ© Pour accueillir le chaton abandonnĂ© chez vous, il s’agit de reproduire l’environnement douillet et chaud du pelage de sa maman. Il faut assurer le service maternel le nourrir de lait, l’aider Ă  faire ses besoins, les dorloter leur parler doucement, leur masser trĂšs dĂ©licatement le ventre pour les aider Ă  faire leurs besoins, 
, jouer avec eux dĂšs qu’ils le demanderont au bout de quelques semaines et leur apprendre les limites avant 3 mois pour ne pas griffer et mordre sans limite. Vous avez compris que vous allez devenir la maman de substitution de votre chaton. Que vous soyez homme ou femme, vous allez devenir aux yeux du chaton une maman chat », mĂ©owwww 😉 La chaleur d’une maman Parce que leur maman lui assure une tempĂ©rature rĂ©gulĂ©e et suffisante, il s’agit de reproduire cette mĂȘme chaleur pendant les premiĂšres semaines de vie de votre chaton. Si vous ne pouvez placer le panier du chaton collĂ© Ă  un radiateur, je vous propose de vous procurer une bouillotte entourĂ©e d’une douce petite serviette dans laquelle il se lovera comme contre le ventre de sa maman. Lait maternisĂ© Tout comme le chaton tĂšte sa maman pendant plusieurs semaines, il faut vous procurer du lait maternisĂ© TVM, Milkkan Chaton Lait MaternisĂ© ou autre, 
. Un piĂšge est Ă  Ă©viter ce n’est pas un bĂ©bĂ©, c’est un chaton, donnons le biberon seulement quand le chaton a le ventre au sol ou sur une couverture, surtout pas sur le dos. Les quantitĂ©s rĂ©fĂ©rence vont vous aider durant les 5 premiĂšres semaines, proposez 7 biberons servis Ă  38° par 24 heures. Lavez-vous souvent les mains, obligatoirement avant chaque biberon. Les premiĂšres prises de lait peuvent ĂȘtre timides car le chaton ne s’y habitue pas rapidement. VĂ©rifiez bien l’ouverture de la tĂ©tine du biberon est-elle suffisante pour la tĂ©tĂ©e du chaton ? Ne soyez pas surpris de quelques diarrhĂ©es les premiers temps car la transition du lait de sa maman au lait industriel aura Ă©tĂ© trop brutale, l’idĂ©al Ă©tant de donner un mĂ©lange des deux laits pendant quelques jours, le temps que l’organisme du chaton s’habitue. Ce n’est pas toujours possible selon l’histoire du chaton. L’alimentation de votre chaton abandonnĂ© Entre 0 et 5 semaines, le chaton est nourri au lait maternisĂ©. DĂšs 5 semaines environ, nous pouvons donner des croquettes spĂ©cial chaton, les croquettes doivent ĂȘtre humidifiĂ©es dans le lait maternisĂ© pour habituer les mĂąchoires et les jeunes crocs du chaton progressivement Ă  la mastication. Des croquettes humidifiĂ©es ou de la mousse pour chaton, pourquoi pas 
 Quand il atteint ses 3 mois, nous pouvons envisager une nourriture pour chaton classique. Je vous conseille de lire cet article du blog sur la nourriture idĂ©ale pour votre chat. Le choix de croquettes sera facile aprĂšs la lecture de cet autre article pour choisir en moins d’une minute les croquettes pour votre chat selon leur qualitĂ©, les besoins de minou et votre budget. Consultez rapidement votre vĂ©tĂ©rinaire Lorsque vous accueillez un chaton abandonnĂ©, assurez-lui un diagnostic chez le seul spĂ©cialiste reconnu le vĂ©tĂ©rinaire. Une consultation est urgente dans les 24 heures, notez les moindres symptĂŽmes inquiĂ©tants pour expliquer au vĂ©tĂ©rinaire l’urgence de votre demande. Surveillez les besoins naturels de votre chaton Je vous rappelle qu’il s’agit de reproduire les mĂȘmes soins que sa maman lui aurait donnĂ©s. Pour stimuler ses pipis et cacas durant les premiĂšres semaines, sa maman l’aide en le lĂ©chant. Un gant de toilette humidifiĂ© Ă  l’eau tiĂšde fera trĂšs bien l’affaire, l’application sera trĂšs dĂ©licate comme le massage du ventre. Le massage dĂ©licat de son ventre stimule aussi ses besoins naturels. Cette stimulation est nĂ©cessaire au moins 4 semaines durant, voire 5 s’il ne fait pas ses besoins tout seul. Vous observerez aussi les selles en gĂ©nĂ©ral les chatons ont des selles molles. Si votre chat est constipĂ© plus de 3 jours, essayez de le stimuler avec un thermomĂštre huilĂ©, c’est bon vieux truc de vĂ©tĂ©rinaire. Pour parfaire la mĂ©thode, ajoutez Ă  chaque biberon ou ration de nourriture une goutte d’huile de paraffine. Premiers soins pour votre chaton abandonnĂ© Si vous n’avez pas eu encore la premiĂšre auscultation de votre vĂ©tĂ©rinaire, vous pouvez dĂ©jĂ  agir pour certains symptĂŽmes. Est-ce que le cordon s’est dĂ©tachĂ© ? Si une infection est Ă  craindre Ă  ce niveau rougeur exagĂ©rĂ©e, boursouflure, 
, il sera nĂ©cessaire de badigeonner un peu de bĂ©tadine au quotidien jusqu’à la visite chez le vĂ©tĂ©rinaire. Quand les yeux de votre chaton s’ouvrent enfin, vous pouvez les nettoyer trĂšs dĂ©licatement avec une compresse au sĂ©rum physiologique. Je vous conseille vivement de noter tous les jours la pesĂ©e du chaton pour observer la courbe de la progression de la prise de poids. C’est une information prĂ©cieuse sur la croissance du petit bout de chou. Habituellement, le poids de naissance est triplĂ© en 4 semaines. Retenez aussi que vous pouvez lui donner un premier vermifuge dĂšs 3 Ă  4 semaines d’ñge adaptĂ© Ă  son Ăąge. Votre vĂ©tĂ©rinaire vous en prescrira. Aussi prĂ©sent qu’une mĂšre Vous avez eu le courage de vous occuper de ce chaton abandonnĂ©. S’il faut ĂȘtre disponible et trĂšs prĂ©sent pendant les premiĂšres semaines, ayez Ă  l’esprit le fait que le chaton ne quitte pas un instant sa maman. Durant plusieurs semaines dans un scĂ©nario classique, la mĂšre assure 24h/24 de prĂ©sence. Mobilisez votre entourage, vos amis, vos collĂšgues ou vos voisins si vous devez vous absenter. Vous allez adorer le spectacle impressionnant de la croissance de votre chaton. Il va ramper jusqu’à au moins 4 semaines. Puis progressivement, il commencera Ă  goĂ»ter Ă  la marche. Enfin il gambadera partout chez vous. Conclusion Vous ĂȘtes maintenant maman-chat ! Le regard que vous adresse votre chaton est le mĂȘme que les autres chatons vers leur maman biologique. Vous avez une enveloppe humaine gigantesque Ă  ses yeux. Mais qu’à cela ne tienne, il vous perçoit comme un authentique fĂ©lin. MĂ©owwww. Au fait, saurez-vous rĂ©pondre Ă  la grande question concernant le nouveau venu est-ce un mĂąle ou une femelle ? Ce dessin devrait vous aider credits photo Flickr ©Beracassat Enfin, pour recevoir gratuitement le guide d’accueil d’un nouveau chat chez vous et vous tenir informĂ© des prochains articles. Vous ĂȘtes libre de demander Ă  recevoir gratuitement ce Guide de 200 pages directement ici en 1 clic.

quefaire si le veau obtient du lait dans les poumons? – tout en nourrissant les veaux, il est essentiel que vous ne le fassiez plus le plus efficace, mais vous avez le bon

Le jour oĂč Anthony Kavanagh annonçait qu’il souffrait d’une embolie pulmonaire, annulant du coup une partie de sa tournĂ©e, je diagnostiquais le mĂȘme problĂšme chez deux de mes patients Ă  l’urgence des caillots dans les poumons. Des caillots qui bloquent le passage du sang dans certains lobes de l’organe de la ventilation, causant de la douleur — souvent vive — et un essoufflement. Image tirĂ©e du site de Radio-Canada, le 19 dĂ©cembre l’embolie pulmonaire, pourtant grave, demeure mĂ©connue dans la population sauf chez ceux et celles qui en ont souffert
 !. Peut-ĂȘtre parce qu’on en parle bien moins que de l’AVC ou de l’infarctus, deux troubles apparentĂ©s oĂč l’interruption de la circulation artĂ©rielle dans le cerveau ou le cƓur cause parfois les ravages souvent graves que l’on sait. Peut-ĂȘtre aussi parce que l’embolie pulmonaire est plus mystĂ©rieuse et tout de mĂȘme moins frĂ©quente. Mais d’oĂč viennent ces caillots ? Par oĂč passent-ils ? OĂč vont-ils se loger exactement ? Quels dommages causent-ils ? Peuvent-ils ensuite monter au cerveau ? Comment vont-ils se rĂ©sorber ? C’est le genre de questions que mes patients me posent rĂ©guliĂšrement. Si elles sont toutes pertinentes, elles montrent aussi le degrĂ© d’inconnu liĂ© Ă  un des problĂšmes de santĂ© les plus graves qui soient. Un caillot dans les veines Un caillot qui se loge dans les poumons est nĂ©cessairement passĂ© par le cƓur droit, cette moitiĂ© de cƓur qui reçoit le sang veineux — mal oxygĂ©nĂ© — des veines du corps entier pour le diriger vers la circulation pulmonaire, justement, qui se chargera d’en extraire le CO2 toxique pour le remplacer par l’oxygĂšne salvateur. Pourvu bien sĂ»r que la fonction respiratoire ne soit pas trop altĂ©rĂ©e par un caillot ! Ces caillots se forment dans une veine quelque part dans le rĂ©seau veineux du corps humain, le plus souvent dans les jambes. Ils peuvent Ă©galement provenir d’autres veines, celles des reins par exemple, de la grande veine cave veine centrale du ventre, voire mĂȘme de celles des bras. Reconstitution par SCAN du rĂ©seau veineux des jambes. Source ce dernier cas, le risque de migration aux poumons est possible, mais les caillots, de moindre taille, sont d’autant moins dangereux. De mĂȘme, ceux qui se forment loin, dans les veines plus petites sous les genoux, causent rarement de graves problĂšmes, contrairement Ă  ceux qui proviennent des veines des cuisses veines fĂ©morales. Bref, plus la veine est grosse, plus les rĂ©percussions risquent d’ĂȘtre grandes. Pour leur part, ces caillots qui se forment dans les veines superficielles des jambes et des bras, juste sous la peau, peuvent causer de la douleur. On parle alors de phlĂ©bite superficielle, qui apparaĂźt souvent Ă  la suite de la pose d’un solutĂ©, mais ne migrent pas et ne posent donc pas de risque
 Ă  moins que de proche en proche ces caillots ne se forment jusque dans les veines profondes un phĂ©nomĂšne peu frĂ©quent. Quand le sang caillote Les caillots ne se forment pas seulement par hasard les facteurs de risque sont de trois ordres. D’abord, l’immobilitĂ©, qui favorise la stase veineuse. Le sang est un fluide qui doit circuler. Immobile, il peut former un caillot, agrĂ©gat de cellules sanguines, surtout des plaquettes, qui adhĂšrent les unes aux autres, et de fibrine, une protĂ©ine, formant une masse plus ou moins compacte. Toute immobilisation comporte donc un risque, que ce soit un sĂ©jour prolongĂ© dans un lit d’hĂŽpital, un plĂątre, ou mĂȘme un trĂšs long voyage en avion pas trois ou quatre heures, mais plus de six heures, par exemple. VoilĂ  pourquoi il faut se lever rĂ©guliĂšrement quand on vole de longues heures. Le sang lui-mĂȘme peut se trouver plus ou moins prompt Ă  coaguler. Par exemple, chez les personnes souffrant de cancer, le sang a davantage tendance, en raison de substances circulantes procoagulantes », Ă  former des caillots. Plusieurs problĂšmes de coagulation hĂ©rĂ©ditaires favorisent Ă©galement la formation de tels caillots. Certains mĂ©dicaments augmentent aussi ce risque, comme une hormonothĂ©rapie ou la pilule contraceptive. MĂȘme la grossesse, en raison de la stase qu’elle provoque, mais aussi de changements hormonaux, accroĂźt le risque. De mĂȘme que le tabagisme. Ces risques se multiplient entre eux. Un bĂ©mol mĂȘme si le risque est influencĂ© par la prise de contraceptifs, le risque de base reste trĂšs faible chez les femmes en Ăąge de procrĂ©er. De sorte que l’augmentation du risque est minime, dans l’absolu. Une grossesse engendre par exemple un risque plus Ă©levĂ© de caillots que la pilule contraceptive. Enfin, tout traumatisme Ă  une veine exemple un cathĂ©ter entraĂźne une rĂ©action qui peut mener Ă  un caillot. Ainsi, une blessure Ă  une jambe peut se compliquer par une thrombose blocage profonde, qu’on appelle aussi thrombophlĂ©bite. D’abord une douleur La formation d’un caillot dans une jambe ou ailleurs entraĂźne gĂ©nĂ©ralement de la douleur, progressive, sur le trajet de la veine, puis dans toute la rĂ©gion par exemple le mollet qui se trouve engorgĂ©e de sang. Mais ce blocage, qui perturbe aussi le retour du sang vers le cƓur, augmente la pression dans les veines et provoque ainsi une enflure plus ou moins importante, selon la taille et la position de la veine affectĂ©e. Si le blocage est situĂ© haut dans la cuisse, c’est toute la jambe qui enflera. PhlĂ©bite profonde de la jambe gauche, montrant un ƓdĂšme enflure diffus et une coloration vaguement bleutĂ©e due Ă  une stase veineuse. Source souvent, les personnes me consultent Ă  ce moment. À l’examen, on trouve la douleur Ă  la palpation du membre, de mĂȘme que l’ƓdĂšme enflure. Si les signes sont francs, un examen Doppler qui s’apparente Ă  l’échographie est demandĂ©, et repĂšre gĂ©nĂ©ralement le caillot qui en est Ă  l’origine ou bien une autre cause pour expliquer la douleur et l’enflure, comme un hĂ©matome dans un muscle. Par contre, il arrive que ces caillots ne causent pas de symptĂŽmes, ce qui expose la personne Ă  un dĂ©lai diagnostique qui pourrait avoir des consĂ©quences fĂącheuses. Ce caillot entraĂźnera souvent des complications locales de la jambe, en plus de la douleur, puisque les veines, de fragiles conduits, contiennent aussi des valvules qui empĂȘchent le reflux de sang vers le bas. À la suite d’une thrombophlĂ©bite profonde, elles pourraient ĂȘtre dĂ©truites, ce qui favorisera l’accumulation de sang par gravitĂ©, des douleurs plus ou moins prolongĂ©es et de l’enflure chronique. C’est le syndrome postphlĂ©bitique, qui peut survenir mĂȘme si la thrombose est bien traitĂ©e. Mais la principale complication de la thrombophlĂ©bite ne se passe pas tant dans la jambe ou sa veine que si le caillot migre. D’abord adhĂ©rent Ă  la veine, il peut en effet s’en dĂ©tacher, pour flotter librement dans la circulation veineuse. Il ne restera pas en place, les veines drainant continuellement le sang vers le cƓur droit. EmportĂ© par ce flot, un caillot passera dĂšs lors par la veine cave, remontera jusqu’à l’oreillette droite, puis le ventricule droit, d’oĂč il sera propulsĂ© dans une artĂšre pulmonaire. ArrivĂ©e dans les poumons On peut voir les poumons comme un grand filtre pour le sang veineux, qui doit nĂ©cessairement le traverser. Les artĂšres pulmonaires s’y ramifient en vaisseaux de plus en plus petits, qui forment finalement un maillage serrĂ© de capillaires ultrafins, accolĂ©s aux alvĂ©oles, dont la fonction principale est d’assurer un contact presque direct entre le sang et l’air, assurant les Ă©changes gazeux vitaux. La circulation pulmonaire. Sur cette image, les artĂšres pulmonaires sont en rouge alors qu’elles contiennent plutĂŽt du sang veineux, mais bon, l’image Ă©tait belle. On peut observer les multiples ramifications de cette circulation complexe. Source filet de tuyauterie forme un maillage d’une incroyable finesse, qui attrape tout ce qui tente de passer, dont les caillots. D’ailleurs, les poumons filtrent ainsi, rĂ©guliĂšrement, une multitude de petits agrĂ©gats sanguins — de minuscules caillots —, les retirant de la circulation et les digĂ©rant » pour les Ă©liminer. Ce rĂŽle est vital, parce que sinon, le moindre caillot se retrouverait ensuite dans le cƓur gauche, et serait envoyĂ© dans l’aorte vers les organes desservis, dont le cerveau
 causant ainsi un AVC. Nous ne pourrions donc pas survivre sans ce filtre. De sorte qu’à la question qui m’est souvent posĂ©e sur la possibilitĂ© pour ces caillots de continuer Ă  se dĂ©placer dans le corps, notamment jusqu’au cerveau, il n’en est rien une fois bloquĂ© dans ce filet pulmonaire, le caillot ne peut plus bouger, et surtout pas se rendre dans le cerveau. Une trĂšs rare exception est le passage direct d’un caillot provenant d’une veine du cƓur droit au cƓur gauche, par exemple par un orifice appelĂ© foramen ovale», d’oĂč il peut monter directement au cerveau, mais sans passer par les poumons. À ce moment, ce n’est pas vraiment l’embolie pulmonaire qui est en cause. L’AVC Ă©tait donc la bonne rĂ©ponse Ă  ma question posĂ©e sur Twitter Une embolie pulmonaire peut causer tout cela sauf
 la rĂ©ponse dans mon prochain blog — Alain Vadeboncoeur Vadeboncoeur_Al December 20, 2017 Des dommages pulmonaires Mais le caillot cause son lot de dommages et de symptĂŽmes dans les poumons. On s’imagine que ces vaisseaux ne sont pas conçus pour recevoir de gros caillots, qui bloquent alors une partie de la circulation acheminĂ©e vers les poumons. D’abord, c’est un problĂšme de circulation, comme un camion en panne Ă  l’heure de pointe un bon caillot, provenant par exemple de la cuisse, prend beaucoup de place, et peut bloquer une artĂšre pulmonaire au complet, compromettant le passage du sang. C’est d’ailleurs la premiĂšre menace de l’embolie pulmonaire si le blocage est suffisamment important, le sang ainsi bloquĂ© n’arrive plus Ă  atteindre le cƓur gauche, ce qui peut causer une baisse du dĂ©bit cardiaque, une chute de pression, voire une syncope et un arrĂȘt circulatoire dans les cas extrĂȘmes. Heureusement, le blocage est rarement aussi extrĂȘme. Mais il demeure qu’un caillot de bonne taille mĂšnera tout de mĂȘme Ă  des dommages en bloquant une ou plusieurs artĂšres pulmonaires, avec deux consĂ©quences principales. D’abord, cet arrĂȘt local de circulation compromet les Ă©changes gazeux dans ce secteur, ce qui entraĂźne le premier symptĂŽme de l’embolie cet essoufflement causĂ© par une baisse de l’oxygĂšne et une augmentation du travail respiratoire consĂ©quent. Mais l’embolie compromet Ă©galement la circulation dans le dĂ©licat tissu pulmonaire lui-mĂȘme, qui doit aussi ĂȘtre nourri, causant ainsi parfois ce qu’on appelle un infarctus pulmonaire, soit une atteinte directe d’une portion du poumon, qui va mener Ă  une rĂ©action inflammatoire qui explique le second symptĂŽme principal de l’embolie pulmonaire la douleur. Double infarctus pulmonaire. Sur ce SCAN thoracique, l’air est noir, et les tissus, gris ou blancs. Les deux cĂŽnes arrondis montrent des zones des poumons affectĂ©es par une embolie pulmonaire importante, causant un infarctus pulmonaire. Source douleur est souvent dite pleurĂ©tique », parce qu’elle varie avec les mouvements de la respiration, donc de la plĂšvre, l’enveloppe des poumons. En comparaison, la douleur cardiaque de l’infarctus ne varie habituellement pas Ă  la respiration. À chaque respiration, la douleur augmente donc, une caractĂ©ristique importante pour dĂ©celer le problĂšme. Trouver le caillot Devant tout patient se prĂ©sentant pour une douleur thoracique, le diagnostic d’embolie pulmonaire doit flotter quelque part dans la tĂȘte de l’urgentologue, Ă  l’image du caillot qui flotte dans les veines en cause. Parce que si on ne pense pas Ă  ce diagnostic, une des six grandes urgences thoraciques se manifestant par une douleur, on ne le trouvera pas. Ainsi, si une personne qui consulte pour une telle douleur prĂ©sente des facteurs de risque pour une thrombose mentionnĂ©s plus haut et des symptĂŽmes compatibles douleur pleurĂ©tique et essoufflement, il est temps d’aller Ă  la recherche de l’embolie pulmonaire, une quĂȘte pas toujours facile. Lorsque le doute est faible chez un patient de moins de 50 ans, certains Ă©lĂ©ments d’information permettent souvent d’ Ă©liminer » ce diagnostic avec une confiance suffisante. Pour les autres patients, il faut parfois aller loin. À moins que l’on ne dispose d’une autre explication Ă©vidente pour sa douleur traumatisme au thorax, par exemple, on effectuera d’abord un Ă©lectrocardiogramme, qui montre dans 60 % des cas certaines anomalies plus ou moins subtiles de l’embolie pulmonaire. Mais c’est surtout par le dosage sanguin des D-dimĂšres, un test accessible dans toutes les urgences, que l’on peut orienter le diagnostic. Reliquat formĂ© Ă  partir de la dĂ©gradation de la fibrine, une protĂ©ine impliquĂ©e dans la coagulation, le dosage des D-dimĂšres permet d’exclure raisonnablement l’embolie pulmonaire des diagnostics possibles s’il est normal, sauf pour le patient Ă  risque Ă©levĂ© d’embolie comme aprĂšs une intervention chirurgicale. Si le test est anormal, le doute augmente d’autant. Mais ce genre de test est dit non spĂ©cifique », en ce sens qu’il est souvent aussi anormal chez les personnes en bonne santĂ©, sans embolie pulmonaire ni autre caillot. En cas d’anomalie, le diagnostic n’est toujours pas confirmĂ©, mais il faut approfondir. Confirmer le diagnostic On parle alors d’imagerie diagnostique. Une simple radiographie pulmonaire ne donnera habituellement rien, Ă  moins de voir l’image du fameux infarctus pulmonaire » important, ce qui est peu frĂ©quent et demeure non spĂ©cifique. Il faudra aller plus loin, soit par un test de mĂ©decine nuclĂ©aire appelĂ© scintigraphie ou encore par un examen appelĂ© angioscan pulmonaire. Scintigraphie pulmonaire montrant un marqueur radioactif rĂ©parti dans les deux poumons. Cet examen est normal. Il n’est pas nĂ©cessairement facile Ă  lire ! Source le premier cas, on peut observer qu’une section de poumon ne reçoit plus de sang, signant le blocage. Dans le second cas, on peut visualiser directement les artĂšres avec un colorant, ce qui montre l’interruption de la circulation, et bien souvent le caillot lui-mĂȘme s’il est de taille suffisante. Ces deux examens permettent Ă©galement de mesurer l’ampleur des dĂ©gĂąts. Amorcer le traitement Une fois le diagnostic posĂ©, le traitement reste assez simple. Dans la plupart des cas, il suffit de laisser la nature agir, les poumons Ă©tant plutĂŽt efficaces pour nettoyer les caillots
 pourvu qu’on n’en rajoute pas. Il s’agira donc essentiellement de dĂ©buter par un anticoagulant Ă  cette fin, mĂ©dicament qui empĂȘchera la formation de nouveaux caillots et prĂ©viendra leur migration vers les poumons. Bien souvent, ces anticoagulants seront pris sur une longue pĂ©riode. Restent cependant les sĂ©quelles potentielles de tous ces caillots. J’ai dĂ©jĂ  parlĂ© des problĂšmes dans les jambes. Dans les poumons, l’amputation d’une partie de la circulation pulmonaire peut aussi entraĂźner des consĂ©quences Ă  long terme, plus frĂ©quentes en cas d’embolie majeure la circulation pulmonaire pourrait ĂȘtre partiellement compromise, ce qui diminuera la capacitĂ© d’oxygĂ©nation du patient et augmentera la rĂ©sistance circulatoire pulmonaire, ce qui peut avoir Ă  long terme des effets sur le cƓur. De sorte qu’il vaut tout de mĂȘme mieux prĂ©venir que guĂ©rir. Comment ? Relisez simplement le paragraphe sur les causes. Cessez de fumer si vous prenez la pilule contraceptive. Bougez rĂ©guliĂšrement quand vous prenez un vol de longue durĂ©e. Rendez-vous mobile le plus possible en cas d’hospitalisation. Gardez une vie active pour favoriser la circulation veineuse. Ces actions simples vous permettront peut-ĂȘtre d’éviter de recevoir un jour un caillot dans les poumons, comme ceux qui ont conduit mes deux patientes Ă  l’urgence et Anthony Cavanagh Ă  l’hĂŽpital. On lui souhaite d’ailleurs un prompt rĂ©tablissement !
Onadore les chats ! Que ce soit pour vous parler de ce chat obĂšse qui se refuse Ă  tout type d’exercice, du plus grand chat du monde ou encore de pourquoi votre chat miaule plus que d’habitude, il y a toujours une bonne raison de parler de nos compagnons Ă  poil prĂ©fĂ©rĂ©s ! Aujourd’hui, un top 5 des aliments qui sont les plus dangereux pour eux.
La fausse-route peut avoir de graves consĂ©quences. Voici la conduite Ă  adopter en cas de passage de liquide ou d'aliments solides dans les voies fausse-route survient lorsqu’un liquide ou un aliment solide passe non par l'Ɠsophage, mais par la trachĂ©e, c’est-Ă -dire par les voies respiratoires. La victime peut alors s'Ă©touffer. L'apnĂ©e forcĂ©e va entraĂźner plusieurs consĂ©quences l’augmentation du taux d'hĂ©moglobine dĂ©soxygĂ©nĂ©e dans le sang va rapidement entraĂźner un bleuissement de la peau cyanose ; cette perte d’oxygĂ©nation concerne aussi le cerveau, ce qui peut se traduire par une perte de connaissance. La mort peut survenir en quelques minutes. Chez un adulte, la fausse-route d'un liquide est presque toujours accompagnĂ©e d'une toux qui va permettre son expulsion. Mais chez le trĂšs jeune enfant, ou dans le cas gĂ©nĂ©ral de l'absorption d'un objet solide, les risques d’étouffement sont importants. Si la respiration ne s'est pas rĂ©tablie au bout de quelques secondes, des mesures d'urgence doivent ĂȘtre prises. Chez un adulte, le premier rĂ©flexe doit ĂȘtre de cinq claques fermes dans son dos, entre ses deux omoplates. La victime doit ĂȘtre lĂ©gĂšrement penchĂ©e en avant. Sous l'effet des claques, les poumons et la plĂšvre vibrent, ce qui peut parfois suffire Ă  dĂ©clencher un rĂ©flexe de toux. Si cela ne suffit pas, il faut pratiquer la manƓuvre de Heimlich on doit se positionner derriĂšre la victime, placer un poing fermĂ© entre le nombril et le sternum, maintenu Ă  l'aide de l'autre main. Il faut ensuite presser fortement vers soi, et vers le haut cette compression fait gĂ©nĂ©ralement sortir le corps Ă©tranger. Si la victime perd connaissance, il faut appeler les secours, l’allonger au sol, et commencer le massage cardiaque. Si la victime est une femme enceinte, une procĂ©dure lĂ©gĂšrement diffĂ©rente, dĂ©crite ici en images, doit ĂȘtre adoptĂ©e. Une situation d’étouffement, chez le jeune enfant, se traduit par un arrĂȘt brutal de la respiration et des pleurs. Attention si l'enfant Ă  des difficultĂ©s respiratoires, mais Ă©met encore des sons, "le premier rĂ©flexe doit ĂȘtre d’appeler le 15 – un mĂ©decin rĂ©gulateur enverra des secours –, mais il ne faut rien faire, car secouer l’enfant, lui taper dans le dos, le prendre par les pieds, c’est prendre le risque de dĂ©placer l’élĂ©ment qui l’empĂȘche de respirer, et de l’asphyxier pour de bon", dĂ©taillait dans notre Ă©mission le docteur CĂ©line Farges, pĂ©diatre-rĂ©animateur au Samu de Paris. Si la situation d'Ă©touffement se confirme, la conduite Ă  tenir est dĂ©taillĂ©e en images ici Ă  partir de 2’20.
. 539 56 704 397 663 443 188 55

chaton lait dans les poumons que faire